1. Kabir, maman et moi (4)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Gay Auteur: lo1ka, Source: Xstory

    Auparavant, je m’étais toujours considéré comme un hétérosexuel "curieux", mais dont la curiosité ne déboucherait sur rien de concret. J’étais attiré par les femmes, évidemment, et particulièrement par maman chérie. La voir être traitée comme une chienne dans sa propre maison m’excitait au plus haut point. Et quelque part, j’aurais aimé être son mâle dominant, faire d’elle ma pute personnelle que je baise et encule quand bon me semble. Mais force était de constater qu’en termes de virilité, de caractère ou de taille, Kabir m’était bien supérieur. Je n’avais aucun mal à l’accepter. Au contraire, je me délectais du spectacle de maman qui se faisait baiser et humilier devant moi par cet étalon. Mais il faut avouer qu’au fil des jours et des rapports sexuels que j’observais entre maman et Kabir, je m’imaginais aussi être à la place... de maman. J’étais fasciné par la beauté du sexe de Kabir.
    
    Moi qui avais déjà quelques fois auparavant visité des sites Internet de photos de bites, celle de Kabir faisait vraiment partie de mes préférées. Tellement grosse, tellement grande, une allure si fière lorsqu’elle est en érection, une peau parfaite, un gland tellement appétissant...
    
    Il m’était arrivé d’en rêver la nuit. De la sentir aller et venir dans ma bouche, de déposer des baisers langoureux sur son gland, de lécher doucement toute la surface, de gober ses testicules. Et aujourd’hui, enfin, mon rêve se transforme en réalité. Mais avec Kabir, les choses ne fonctionnent jamais dans ...
    ... l’ordre logique ou préétabli...
    
    Non, il n’y avait pas eu de préliminaires. Même pas de préservatif, parce qu’il me l’avait fourrée dans la bouche. Non, Kabir m’avait directement pénétré. Enfin, presque. Mon anus n’étant pas encore lubrifié, Kabir ne put insérer que son gland. La force qu’il appliquait à me pénétrer ne faisait que pousser mes fesses en avant. Il continuait tout de même de me donner de violents coups de reins, et à chacun d’entre eux, je sentais un afflux de sang supplémentaire remplir mon pénis. En pleine érection, il semblait faire à peu près la moitié de la taille de celui de Kabir. Constater cette inégalité, en soi, m’excitait encore plus, parce que tout indiquait que j’étais censé être sa femelle soumise, et lui mon mâle dominant.
    
    Kabir s’agrippait à moi et s’acharnait à me donner des coups de reins puissants et rapides, en me fixant des yeux tout au long. D’une main, il maintenait ma jambe droite écartée. Son autre bras passait sous mon cou et serrait mon visage contre le sien. Sa bouche était à quelques millimètres de ma joue, et j’entendais ses halètements comme si c’était les miens. Il suintait de sueur, et pourtant, était déterminé à ne pas s’arrêter. Je n’avais jamais vu Kabir dans de tels états d’excitation avec maman. Après coup, je me rendis compte que c’était probablement la pénétration anale qui lui faisait tellement d’effet. Mais sur le moment, je n’y réfléchis pas, j’étais flatté, heureux, fier de provoquer une telle réaction de la part ...
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