1. Kabir, maman et moi (4)


    Datte: 26/08/2019, Catégories: Gay Auteur: lo1ka, Source: Xstory

    ... d’un tel homme. Pour lui signifier ma gratitude, je décidai de le mettre dans de meilleures dispositions pour qu’il puisse me pénétrer entièrement.
    
    — Attends, Kabir, lui dis-je d’une voix douce et féminine, en me tournant vers lui.
    
    Je crachai dans ma main gauche, écartai mes fesses de la main droite, et me doigtai quelques instants pour me lubrifier avec ma salive. Je le faisais toujours en regardant Kabir, nos bouches étaient presque collées l’une à l’autre, et je mourrais d’envie qu’il m’embrasse, qu’il me prouve une ultime fois que je suis sa femme, et lui mon homme. Mais je savais que ce serait trop beau pour se réaliser.
    
    — Dépêche-toi d’écarter ton cul, pétasse, j’ai pas toute la journée, cria-t-il en me crachant sur la figure.
    
    Je pris la bite de Kabir et la masturbai quelques instants avec la salive qu’il me restait sur la main, puis l’aiguillai vers mon trou du cul bien lubrifié. Je frottai son gland contre mon anus pour qu’il se fraie un chemin. Ça y est, le gland était entièrement à l’intérieur. Il n’y avait plus de frottement, Kabir pouvait désormais s’engouffrer entièrement en moi. Avant de relâcher son chibre et de le laisser me limer, je le suppliai désespérément d’être doux avec moi.
    
    — Kabir, fais-le doucement s’il te plaît, c’est la première fois que je f...
    
    Il fallait s’en douter. Kabir interrompit ma requête en enfonçant entièrement sa bite dans mon cul.
    
    — Fais quoi, salope ? Fais quoi doucement, pédé ? Dis-le !, m’ordonna-t-il ...
    ... frénétiquement pendant qu’il me défonçait.
    
    — Baise-moi... Oooh Kabir s’il te plaît, baise-moi doucement, répondis-je en criant comme une fillette.
    
    Je sentais mon cul brûler de douleur sous les va-et-vient violents de Kabir qui semblait appliquer toutes ses forces à me limer. Mon premier réflexe était d’essayer de le repousser par ses hanches, de tenter de me soustraire à ses coups de bite infernaux. Mais Kabir était bien trop fort, bien trop lourd, et je n’avais d’autre choix que de subir cette douleur pendant aussi longtemps que mon mâle le voudrait. Mais le mal était suppléé par l’incroyable excitation que me procurait la situation. Être la petite salope obéissante de Kabir était vraiment bandant. Je me sentais exactement à ma place, remplissant parfaitement le rôle qui m’était destiné : être une femelle docile au service de son mâle.
    
    Au bout d’une dizaine de minutes dans la même position, Kabir se redressa et me prit en levrette. À ce moment-là, mon anus s’était déjà bien habitué au chibre de mon homme. Ça y est, je commençais vraiment à ressentir physiquement du plaisir lorsque Kabir me pénétrait. D’autant plus que désormais, il me baisait de manière moins frénétique. Toujours avec la même violence des coups de reins, mais à une allure un peu moins déchaînée. J’avais donc le temps de bien sentir sa bite aller et venir moi, et je me délectais de chaque centimètre de ce membre viril qui me traversait le rectum. Je profitai de cette position pour soulager ma pauvre bite qui ...