1. Tango des ombres du désir


    Datte: 26/08/2019, Catégories: f, h, fhh, hh, copains, prost, nympho, taille, jardin, danser, fête, collection, amour, fdomine, revede, double, Partouze / Groupe fsodo, fantastiqu, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... avait comme une présence mystérieuse. Cela aurait pu nous déconcentrer, mais au contraire, curieusement, cela renforçait notre excitation. Depuis le plancher où je l’avais jeté, l’ours blanc, en voyeur impénitent, nous regardait fixement de ses yeux lubriques, et ses babines tâchées de sang semblaient nous avertir qu’il attendait son heure pour se venger d’avoir été violé par une femme autre que sa maîtresse.Cours toujours, babiole en peluche. Ah, si tu pouvais parler, et nous raconter les grâces de ta propriétaire, ce serait différent.
    
    Enlacés, ruisselants de transpiration après notre longue étreinte, nous nous sommes endormis sans entrer dans les draps, pour ne pas défaire le lit. Nous avons éteint la lumière, mais comme les volets n’étaient pas fermés, une lueur lunaire éclairait la chambre.
    
    L’ours en peluche nous regardait toujours. Soudain, il s’est animé. Tout seul ! Il avait de tout petits yeux écarlates et brillants qui se voyaient dans la pénombre, et marchait sur ses deux pattes arrière, maladroitement, en progressant entre mes jambes écartées, jusqu’à mon sexe. Je me suis alors rendu compte que Rachel et moi étions ligotés tous les deux sur le lit par poignets et chevilles.
    
    L’effroi aurait dû faire se dresser mes cheveux, même crépus, sur la tête, mais je restais calme. Ma compagne s’est alors réveillée. L’ours a commencé ce qui ressemblait à une fellation, ce qui me faisait bander, mais en pratique son geste consistait à manger mon pénis, à petits ...
    ... coups de mâchoire avec ses petites dents pointues, morceau par morceau, en commençant par le gland, puis en grignotant progressivement ce qui restait de mon membre viril. J’endurais silencieusement la douleur en regardant celle qui était attachée d’une manière aussi serrée que je l’étais. Voyant ce que je subissais de l’étrange créature, et sans doute craignant aussi ce que celle-ci aller lui infliger ensuite, elle hurlait sa terreur à pleins poumons. Le monstre avalait ma viande humaine ainsi que le sang que je répandais, au fur et à mesure de son repas anthophage, et à cause de cela, il augmentait progressivement de volume. Quand il a eu fini de dévorer ma verge, il s’est attaqué aux testicules, l’un après l’autre. J’étais promis à devenir bientôt un eunuque, dépourvu de tout désir pour les femmes : plus que la souffrance, c’était cela qui me chagrinait le plus.
    
    Je me suis réveillé. Mon somme n’avait duré qu’un quart d’heure, sans le sommeil profond qui me permet généralement de récupérer malgré les cauchemars. Celui-ci m’avait particulièrement glacé : comme souvent en un pareil cas, j’ai décidé de me lever, sans faire de bruit pour ne pas éveiller Rachel. Je n’irai pas me faire un café non plus, pour ne pas abandonner ma douce amie, qui serait restée seule dans l’inquiétante chambre. Avec des yeux habitués à une faible lumière, le clair de lune m’a permis d’y voir un peu. Avec précautions, j’ai exploré méthodiquement la pièce et fini par mettre la main sur un petit ...
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