1. Sex Prologue


    Datte: 26/08/2019, Catégories: ffh, inconnu, grossexe, hotel, pénétratio, double, totalsexe, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... que j’excitais son anus.
    
    Elle poussa soudain le début d’un hurlement plus fort, suraigu, et commença d’éjaculer en tous sens sur mon corps, ses premiers jets atteignant mon visage, tandis qu’elle accompagnait d’ultimes déhanchements de son bassin les dernières caresses de ses mains. Et son orgasme déclencha le mien ; mon cri couvrit le sien ; je me crispai à mon tour en me libérant par saccades au fond de son corps. Son sperme tombait sur ma poitrine, sur mon ventre. J’avais l’impression de sentir son plaisir ruisseler aussi de son sexe autour du mien. Elle se figea finalement dans un dernier soubresaut, la bouche grande ouverte, les yeux plissés, dans une mimique d’extase absolue. Et elle s’écroula soudain littéralement sur moi, parfaitement amorphe, immobile. Laetitia nous contemplait, apparemment ravie. Je secouai doucement ma partenaire. Elle ne bougeait pas.
    
    — Pauline ?
    
    Laetitia caressa son visage en l’appelant plusieurs fois. Mais la jeune femme ne réagissait pas.
    
    — Elle s’est évanouie.
    
    Je m’extirpai lentement d’en dessous de son corps en regardant tour à tour les deux filles avec inquiétude.
    
    — Orgasmes masculin et féminin à la fois. Overdose de plaisir.
    
    Je ne savais pas trop quoi dire.
    
    — Est-ce que… bafouillai-je.
    — Ne t’en fais pas, elle va reprendre ses esprits dans une ou deux minutes.
    — Ah, okay…
    
    Je me levai. Beuh… j’avais du sperme partout.
    
    — Euh… je… je peux prendre la salle de bains ?
    — Fais comme chez toi.
    
    Je m’éloignai en ...
    ... ramassant ma chemise.
    
    — Je te sers un whisky ?
    — Avec joie ! Un immense !
    
    Je sortis vers la chambre tandis que Laetitia se marrait et continuait de caresser doucement le visage de la belle hermaphrodite au canapé dormant.
    
    ***
    
    Quinze minutes plus tard, je revins dans le salon, lavé, rafraîchi, rhabillé, mais surtout épuisé. Un gigantesque whisky m’attendait sur une table basse. Les filles étaient assises dans le canapé, encore nues ; Pauline s’était réveillée et son phallus, bien que toujours balèze, avait dégonflé. Elles me sourirent. Je m’approchai d’elles pour les embrasser. Et les remercier. Même si quelque part, sans que je sache bien pourquoi, j’avais l’impression de m’être fait couillonner. Mais ce furent elles qui me remercièrent finalement ; Pauline referma ses mains sur mon visage qu’elle pressa contre le sien pour m’embrasser à pleine bouche.
    
    — Hmmmm ! Merci ! Je n’ai jamais joui comme ça !
    — Oui, tu te débrouilles plutôt bien, ajouta Laetitia avant de me rouler une pelle à son tour.
    
    Je ne savais pas trop quoi répondre. Je regardai fixement le pénis de la jeune femme.
    
    — Tu ne nous en veux pas trop ?
    — Non, non… Disons que… que c’est… surprenant.
    
    Pauline rougit derechef et attrapa sa serviette qui traînait toujours près du canapé pour s’en couvrir le bassin. Puis elle se leva.
    
    — Je vais me laver.
    — Attends, repris-je. Excuse-moi, Pauline, je ne voulais pas te… je ne voulais pas être désagréable.
    
    Elle me sourit vaguement en passant ...