Sex Prologue
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
ffh,
inconnu,
grossexe,
hotel,
pénétratio,
double,
totalsexe,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
— Attention, Gufti, tu risques d’avoir une surprise…
Je la regardai intensément, cherchant à comprendre ce qu’elle voulait dire. Sans rien ajouter, elle arracha d’un geste la serviette qui ceignait la taille et le bassin de notre partenaire. Je poussai un hurlement de stupeur.
— Je t’avais prévenu, reprit Laetitia, toujours souriante.
***
C’était en boîte, un samedi soir. Une somptueuse et pulpeuse blondinette qui avait visiblement envie de se trouver quelqu’un pour finir la soirée. Elle allumait toute la piste de danse, les dizaines de mâles en rut qui bavaient en la regardant se déhancher avec provocation – et dont je faisais naturellement partie. Le plus terrible, c’était que lorsqu’un des mecs tentait sa chance, elle le laissait s’approcher, l’effleurer, l’embrasser et même la caresser, elle jouait un instant avec lui, avant de se faufiler dans la foule de ses admirateurs pour aller en provoquer un autre.
Dès que je l’avais vue, dans la discothèque, j’avais été subjugué par la beauté incroyable de cette fille ; et quand j’avais commencé à en revenir, c’était la grâce de ses mouvements et le charisme qu’elle projetait qui avaient achevé de me donner envie d’elle. Et juste après, son attitude provocante… Mais c’était bien évident que je n’étais pas le seul à vouloir la séduire.
Néanmoins, à la voir s’amuser à repousser gentiment les bœufs qui estimaient la mériter, je reprenais peu à peu confiance en moi. Le temps et les vents défilant, il y avait ...
... nettement moins de satellites autour d’elle, et les œillades de plus en plus appuyées qu’elle me lançait regonflaient mon cœur (et un peu ma bite, aussi).
Mais tout s’effondra soudain lorsque, prenant enfin une pause, et alors que j’étais prêt à l’inviter boire un verre, la jeune femme se dirigea vers une banquette où semblait l’attendre une autre nana et, sous mes yeux décomposés, lui roula une grosse pelle, avant de se jeter sur le siège et de se serrer tout contre elle pour l’enlacer. Ça avait refroidi tout le monde, remarque ; les derniers excités comme moi qui bavaient toujours en estimant avoir encore une chance se rassurèrent mutuellement en devisant que « Ah bon, ben c’est normal si finalement elle est gouine ! ». Et tandis que les deux filles s’amusaient en observant sur nous l’effet de leur étreinte, j’entendais se mettre en place l’humour gras de mes concurrents dépités.
Sans bien savoir ce que je faisais, et sans trop réfléchir non plus, je m’avançai d’un pas décidé vers les deux jeunes femmes. Elles me regardèrent m’approcher, souriantes ; je soutins leurs yeux que je devinais moqueurs ; elles échangèrent quelques mots, avant de presque éclater de rire. J’allais sans doute me prendre un méga-vent, mais bon… M’armant de mon plus beau sourire et refoulant un ultime soupçon d’inconséquence ou de ridicule, je m’accroupis juste devant elles.
— Puis-je vous offrir un verre, mesdemoiselles ?
— Hein ? beuglèrent-elles ensemble.
Et merde ! Pourtant j’avais parlé ...