1. Des instituteurs compétants


    Datte: 25/08/2019, Catégories: h, jeunes, Masturbation Auteur: Kudu, Source: Revebebe

    ... les vacances familiales d’été, d’aussi loin qu’il m’en souvienne, nous allions à la Méditerranée, sur l’Atlantique ou en Allemagne, à l’époque encore de l’Ouest, toujours en centre naturiste.
    
    Quand mes poils ont commencé à pousser, j’étais un peu inquiet, mes parents n’en avaient pas, le bas de leur ventre était tout lisse. Même papa était glabre contrairement aux entraîneurs du club. Certains d’entre eux étaient tellement poilus sur les bras, les jambes et la poitrine qu’ils en étaient presque noirs. Je me suis informé auprès de maman et elle m’a tout de suite expliqué que c’était un signe certain que je devenais doucement un homme et qu’elle et papa s’épilaient régulièrement l’un l’autre, qu’ils adoraient que ce soit tout doux. Elle m’a demandé si je voulais faire comme eux ou si je préférais que ça continue à pousser. J’étais fier de devenir un homme et je voulais le montrer à mes copains à la piscine, j’ai préféré rester poilu, au moins à cette époque. Surtout que ces poils d’un rouge d’acajou, beaucoup plus foncés que mes longs cheveux ondulés, intensifiaient une peau très blanche parsemée de taches de son.
    
    À la piscine, j’ai commencé à regarder les copains d’un peu plus près. J’ai vite remarqué que ceux qui avaient des poils avaient un pénis beaucoup plus développé que celui des autres et j’ai constaté que le mien aussi avait pris des dimensions plus importantes. À y regarder de plus près et en y réfléchissant, j’ai constaté que celui de papa était énorme ...
    ... comparé au mien. Je lui en ai un jour parlé, il a souri en me disant sur un ton tout naturel :
    
    — Par rapport à toi, François, c’est vrai que j’ai un gros et même un énorme pénis, c’est normal, je suis un homme. Mais, tu peux me croire j’ai souvent vu d’autres hommes qui en avaient un qui mesurait facilement cinq centimètres de plus que le mien et d’autres qui étaient beaucoup plus gros.
    
    Il a même ajouté :
    
    — Tu verras, cet été, quand nous serons à la mer, tu regarderas autour de nous et tu en verras de toutes les sortes, des petits, des droits, des tordus, des longs, chaque homme en a un, toujours différent de celui des autres.
    
    Et après quelques instants de réflexion, peut-être d’hésitation, il a continué :
    
    — Tu verras, ta verge va continuer à grandir. Tu as sans doute remarqué qu’elle n’a plus la même taille qu’il y a un an ? D’ici deux à trois ans, elle sera aussi longue et aussi grosse que la mienne, peut-être un peu plus, peut-être un peu moins. Et, comme tu as remarqué ce changement, je vais t’expliquer quelques choses importantes que tu dois savoir et que je préfère t’enseigner, moi, plutôt que de laisser tes copains te donner des explications incomplètes si ce n’est erronées à ce sujet. La seule autre personne qui puisse t’en parler, c’est maman, je la mettrai au courant de notre entretien et je lui demanderai de répondre de son point de vue à toutes les questions que tu voudrais lui poser.
    
    Il a consacré une bonne demi-heure à me donner sa première leçon ...
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