1968 : une révolution puissance X (5)
Datte: 25/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... profite, au maximum, de toute la longueur de la bite. Les gémissements stridents donnent la mesure. Sandrine monte encore dans l’aigu, comme de petits cris de souris, quand enfilé jusqu’aux couilles, calé au fond du vagin, le mâle se permet quelques ruades. Rien de très méchant. Il espace ainsi les bourrades vicieuses pour bien faire vibrer la femelle. A chaque coup de bourre, il a l’impression de la remplir un peu plus. La pine bute dans le vif de la matrice, les grosses couilles s’écrasent pesamment contre les lèvres de la fente et cela provoque un très encourageant couinement de satisfaction, preuve indubitable qu’elle a besoin de se faire secouer. Mais il sent qu’elle n’est pas en condition pour une vraie bonne défonce. Alors il se retient... Enfin non, il ne se retient pas. Il ne se retient plus...
— Je vais jouir, chérie.
— Oui, vas-y !
C’est la première fois qu’un homme éjacule au fond de son vagin. Et ce n’est pas Philippe. Dommage, mais c’est bon quand même. Elle s’agrippe au drap pour ne pas s’affaler sur le matelas, alors que Jimmy, dans un grognement bestial, perd complètement le contrôle, pousse de toute ses forces et l’ensemence. Un final tumultueux. Le désordre absolu ! Bon Dieu que c’est puissant un homme ! Et, le sperme gicle, se répand, se déverse en elle et quelque part la renverse...
Ultimes coups de reins, un dernier, long, mugissement, et le taureau, assouvi, couilles vidées, s’écroule de tout son long sur elle... Leurs corps amalgamés ...
... par la transpiration, cette montagne de chair, appesantie, mais pas accablante, encombrante, mais alanguie, fond et se confond avec sa propre chair. La vigueur de la bite fichée dans sa chatte mollie. Instinctivement, pour contrer ce dégonflé, Sandrine comprime les parois du vagin, prolonge un peu la sensation de remplissage ; le foutre visqueux lubrifie la perte de possession...
Elle a donc cédé aux dérèglements des sens. Sans être débordée. Pas d’orgasme. Une débauche vaine ? Des errements inconséquents ? Elle ne regrette pas vraiment, mais, maintenant qu’elle retrouve toute sa raison, l’embarras prévaut. Un brin de culpabilité, une once d’inquiétude et beaucoup de doutes contredisent le plaisir. Un plaisir prit illégitimement ? Extorqué aux convenances ?
Le mâle a repris ses esprits :
— Tu n’as pas joui, chérie ?
— Je ne sais pas.
— Crois-moi que quand une femme a un orgasme, elle le sait.
— C’était bien quand même.
— Tu n’as jamais eu d’orgasme ?
— Non, je ne crois pas... Euh, tu es sûr que je ne risque pas de tomber enceinte...
— Sûr et certain.
Il bascule sur le dos. Elle accompagne le mouvement et se love contre lui, pose sa tête sur le torse athlétique. Contre sa joue, le chatouillis de la toison luisante de sueur suscite une envie animale de s’emmitoufler dans l’épiderme duveteux et musculeux, de s’agglutiner à ces émanations viriles que rehausse encore une enivrante flagrance chargée en testostérone. Et la sensation de fuite en avant ...