Le voile se lève enfin... - Histoires de Sexe

Le voile se lève enfin...

... idiot, mais c’est ainsi, et je n’ai jamais éprouvé le besoin de suivre une psychanalyse pour en connaître la raison ! Je surpris un clin d’œil entre les deux hommes. De concert, ils descendirent de la table. Le docteur déroula un épais tapis sur le sol, puis les deux hommes saisirent chacun un poignet de la jeune femme qu’ils amenèrent au centre de ce lit improvisé. Richard se tourna vers moi :

— Viens, chérie.

J’obtempérai volontiers et m’allongeai aux côtés de la secrétaire, cuisses ouvertes. Les hommes étaient face à nous, debout. Le docteur, avec un air mutin, plaça la main au-dessus de moi et commença à jouer à « plouf… plouf… qui c’est qui l’aura » avec Richard, et j’espérais secrètement qu’il allait me « gagner ». J’étais certaine que Richard était dans les mêmes pensées. Perdu ! C’est mon chéri qui entra en moi, et je le reçus malgré tout avec délice. Le docteur quant à lui honora sa secrétaire avec une telle fougue qu’il l’emporta rapidement vers le plaisir. Je l’entendis jouir, très discrètement, mais intensément si j’en crus les tremblements qui la secouèrent. Je vis le docteur se retirer. Il était toujours raide. Il arrive pas à décharger ou quoi ? Je sentis que Richard me faisait bouger de façon à ce qu’il se retrouvât sur le dos. Il était resté en moi durant la manœuvre. Il me saisit par les épaules.

— Penche-toi en avant, ma puce.

Je m’inclinai.

— Embrasse-moi.

Je posai mes lèvres sur les siennes de telle sorte que nos poitrines se ...

... touchèrent. C’est là que je sentis les mains du docteur se poser sur mes épaules. Je ne compris ce qu’il faisait que lorsque son gland força l’entrée de mon anus. Il allait me sodomiser ! Et mon chéri était dans ma chatte ! Une double pénétration ! J’en avais souvent parlé à Richard. C’était un fantasme fort et…

— Ahaaaaa !

Le docteur s’était enfoncé profondément. Que c’était bon ! Cette sensation de me sentir remplie par deux membres vigoureux était exquise, fantastique… ! Très vite les deux hommes trouvèrent le rythme. Je me forçais à garder les yeux ouverts. Je voulais autant les voir que les sentir me posséder. Ma chatte était tellement inondée que les sensations me semblèrent moins fortes que celles que me procurait la bite épaisse qui me limait les fesses. Sur ma gauche, je vis la jeune femme qui se masturbait en nous regardant. Je l’entendis jouir très vite puis elle se releva et se dirigea vers un meuble d’où elle revint avec… Oh my God ! C’était un gode !… un gros godemiché ! Elle l’introduisit doucement dans sa chatte (quelle gourmande !)… puis le retira et je la vis, dans le reflet d’une vitrine, s’approcher du docteur. Il me sembla qu’elle le lui enfonçait dans les fesses.

— Vas-y, Sonia, n’aie pas peur !

Sonia devait manœuvrer l’objet avec dextérité, car les coups de boutoir du docteur s’intensifièrent. J’avais l’impression qu’il allait me déchirer… Mais tant pis, j’en voulais encore… Toujours plus fort… Quand il ressortait complètement pour aussitôt s’enfoncer ...