Le voile se lève enfin...
Datte: 10/03/2018,
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Auteur: MonsieurDE, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent : «Mon docteur chéri… suite »
Quelque temps après ma visite troublante chez le docteur Yvan, laquelle me laissait dans l’incertitude quant à sa véritable identité, je fis un rêve intensément érotique dans lequel je me vis exhibée nue et baisée en public par ce docteur mystérieux. Ce rêve ne permit pas de lever le doute sur le mystère obsédant.Le voile se déchira quelques semaines plus tard…
La puissance de l’érotisme de mon dernier rêve, dont je vous ai fait confession, suscite toujours, chez moi, quelques douces réactions épidermiques lorsque je m’aventure dans les méandres de ma mémoire. Cela arrive tous les soirs, ou presque, lorsque j’éteins la lumière et que j’entends la respiration régulière de mon chéri. J’en arrive parfois à me demander s’il s’agissait seulement d’un rêve, tant le frisson est encore puissant. Quand je regarde Richard dormir comme un enfant, une bouffée d’amour me monte aux yeux. Néanmoins, je lui en veux de me laisser ainsi dans un doute obsédant.
Déciderai-je un jour d’aller chercher la vérité dans ce cabinet médical où, parfois à ma grande honte, j’ai connu l’un des plus intenses frissons de ma vie de femme ? Trois fois cette semaine je me suis rendue à l’adresse, sans parvenir à trouver la force de pousser la porte, et chaque fois j’ai retrouvé les mêmes sensations dans mon ventre. Si je le voyais… s’il relançait le doute… Je sais que je succomberais, vite… trop vite… Et que jamais… jamais, le voile de la ...
... vérité ne se lèverait. Mon désarroi fut tel que j’en perdis tout entrain. Mon chéri s’en inquiéta et je tentais de le rassurer en lui promettant de prendre rendez-vous chez mon médecin traitant, ce que je ne fis pas, consciente que mes réactions risquaient de lui paraître étranges lorsqu’il m’ausculterait. Menteuse, j’affirmai à Richard que le docteur avait diagnostiqué une fatigue passagère. S’il eut un doute, il n’en dévoila rien, et m’accorda, je l’en remerciai mentalement, une période de répit sexuel.
Une nuit, il me secoua pour me réveiller :
— Chérie, chérie, tu viens de faire un mauvais rêve.
Et lorsqu’il répéta mes propos, je me sentis défaillir :
— Tu as dit, c’est lui ! La voix, sa voix je la reconnais. Puis après quelques secondes, tu as ajouté : non, c’est pas lui, elle est plus grosse.
Je me sentis rougir.
— De quoi parlais-tu, chérie ? Qu’est-ce qui se passe ?
Il me prit dans ses bras et je libérai mes larmes.
— Demain, je t’emmène chez mon médecin, le tien m’a l’air un peu incompétent.
Je ne m’y opposai pas, sachant qu’il consultait une doctoresse en fin de carrière. Petite et forte, elle n’était pas prête de figurer sur la couverture d’un magazine de charme. Le lendemain, je reçus le texto du rendez-vous.
— Je passe te prendre à dix-huit heures.
J’écrasai mes lèvres sur celles de mon chéri en montant dans la voiture. Au premier feu rouge, il posa la main sur mon genou, puis la couleur verte semblant l’y engager, il glissa sous ma ...