1. Le voile se lève enfin...


    Datte: 10/03/2018, Catégories: f, fh, ff, fhh, 2couples, fbi, couplus, extracon, collection, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral pénétratio, double, fsodo, échange, champagne, totalsexe, couplea3, f+medical, Auteur: MonsieurDE, Source: Revebebe

    ... Ben non, pourquoi ?
    — Euh… J’aimerais que tu restes.
    
    Le docteur intervint :
    
    — Pas de problème pour moi.
    — Bon, alors je vais me faire tout petit.
    
    Il alla s’asseoir sur une chaise dans un angle de la pièce. Le docteur me posa de nombreuses questions puis il me pria de me déshabiller. Je restai bientôt plantée au centre de la pièce en sous-vêtements.
    
    J’entendis bientôt la voix de Richard.
    
    — Tu es bien timide aujourd’hui.
    
    Tout en parlant, il s’approcha de moi, posa les mains sur mon dos et dégrafa mon soutien-gorge qu’il lança sur la chaise avec ma robe. Il déposa un baiser entre mes omoplates puis descendit mon string, souleva alternativement mes chevilles et lança le bout de tissu.
    
    — Voilà doc, ça sera plus pratique pour toi.
    
    J’étais tétanisée. Le docteur, lui, semblait ravi. Il me questionna longuement et je lui répondis aussi précisément que possible en omettant, toutefois, de lui avouer qu’il était à l’origine de mon trouble. Je lui confiai juste que je me sentais dans une grande lassitude morale.
    
    — Morale ?
    — Oui, elle n’a même plus envie de faire l’amour.
    
    Mon chéri avait mis son « grain de sel ». Le docteur s’enquit de savoir quand avait commencé ce changement dans ma libido.
    
    — Vous avez eu un traumatisme ? Un choc émotionnel ?
    
    J’avais envie de lui répondre : « es deux, mon général ! » Mais il m’aurait fallu tout expliquer, ce qui, pour l’heure, était très délicat… Surtout devant Richard. Ce dernier intervint :
    
    — Je ne la ...
    ... reconnais plus. Tu peux voir si tout fonctionne bien ? Je crois qu’elle n’a plus de plaisir.
    
    J’étais toujours plantée au milieu de la pièce et je me sentis rougir. Le docteur s’approcha :
    
    — Dois-je comprendre que vous n’avez plus d’orgasme ?
    
    Holà ! Moi je ne dis rien. Absolument rien. Et comme je ne disais rien, le docteur reprit son interrogatoire :
    
    — À quand remonte votre dernier rapport ?
    
    Richard répondit :
    
    — Dix jours.
    
    Le docteur continua :
    
    — Vous vous masturbez souvent ?
    — Euh ! C’est-à-dire que… euh… ça dépend, bafouillai-je.
    — Plusieurs fois par semaine ?
    
    J’allais répondre quand Richard me devança :
    
    — J’aime bien qu’elle le fasse devant moi et je lui demande assez souvent. Deux… trois fois dans la semaine.
    
    Je ne savais plus où me mettre ! J’avais envie de crier à Richard de fermer sa g… ! Ça ne regardait personne, ça ! Le docteur poursuivit :
    
    — Et vous parvenez toujours à jouir ?
    
    Soudain, il me sembla que les sosies étaient en train de s’amuser à mes dépens et je ne voulus pas entrer dans leur jeu. Je lançai un : « oui » puissant qui raisonna dans la pièce. Cela sembla les calmer.
    
    — Allongez-vous, s’il vous plaît.
    
    J’obéis au docteur et m’installai sur la table. Il me prit la tension, usa adroitement de son stéthoscope, et commença à me palper le ventre. Je sentis ses mains descendre lentement et soudain il appuya sur une zone douloureuse.
    
    — Aie !
    — Pardon. Vous avez les ovaires un peu gros.
    — C’est grave ?
    — Non, mais il ...
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