Le voile se lève enfin... - Histoires de Sexe

Le voile se lève enfin...

... observation déclencha un éclat de rire. La tension érotique ne me quittait pas. Malgré la douche je sentais ma chatte toujours active, et j’étais prête pour un nouvel assaut. Mais ces messieurs l’étaient-ils ? Ce fut Sonia qui rompit le silence :

— Une dernière pour la route ?

Au point où j’en étais ! Je tendis ma coupe et relevai aussitôt mon erreur lorsque je la vis palper simultanément les couilles de Richard et du doc. Elle déposa un baiser sur leurs glands respectifs, et j’espérai secrètement qu’il y en aurait pour moi. Les hommes nous entraînèrent sur le tapis où ils nous mirent sur le dos. Ils se positionnèrent ensuite, tête-bêche pour un 69. Ils passèrent fréquemment de l’une à l’autre et je trouvai le changement de queue et de langue particulièrement excitant. Nous jouîmes tous, une dernière fois, et je fus heureuse de constater que mon chéri avait éjaculé dans la bouche de Sonia. Je vis qu’elle le nettoyait consciencieusement de sa langue et j’en fis de même pour le docteur sosie.

Nous restâmes côte à côte un grand moment et je trouvais enfin la force de parler de ma première visite chez le docteur Yvan. Richard se dressa sur les coudes.

— Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?

Je lui racontai tout. Insistant bien sur les doutes quant à l’identité du docteur.

— Et malgré ces doutes, tu t’es laissée baiser ?
— Je croyais que c’était toi.
— Pourtant, tu avais des doutes ?

Au fil de nos échanges, je compris que Richard s’amusait de moi. Le ...

... docteur souriait généreusement.

— Tout ça c’est de ta faute et celle de ton sosie.
— N’empêche que tu m’as menti.

J’allai répliquer, mais Richard me devança

— Tu as aimé ?

Je bafouillai :

— Euh…
— Sois franche !

Le ton de sa réplique m’énerva et je criai presque :

— Oui, j’ai aimé. Et même beaucoup, si tu veux savoir.

Je m’étais presque emportée et cela déclencha les rires, puis les hommes expliquèrent à Sonia qui finit par rire elle aussi. Il restait quand même un doute pour moi et je m’adressai à Richard.

— Tu étais vraiment là ?

Il me regarda dans les yeux :

— Pas tout le temps.

Je restais sur ma faim, jusqu’à ce que nous nous retrouvâmes dans la voiture. Richard se pencha alors à mon oreille :

— C’est moi qui t’ai sodomisée.

Je souris. Rassurée. Je lui confiai alors le rêve qui avait suivi dans lequel je m’étais vue, exposée et baisée en public. Il se moqua de moi :

— Eh bien, dis donc, tu caches bien ton jeu, ma cochonne.
— Je cache mon jeu ?
— Oui, sauf peut-être aujourd’hui. Je crois que je ne t’avais jamais vue aussi salope.

Je laissai le silence emplir l’espace puis :

— Ça t’a plu ?
— Quoi ?
— Que je sois salope.
— Beaucoup.

Nouveau silence, puis :

— On le refera ?
— Comme aujourd’hui ?
— Oui.
— Faut voir.

Je posai la main sur sa braguette. Il bandait.

— T’as encore envie ?
— Oui.
— Moi aussi, je suis toute mouillée.
— S…

Je le pinçai pour l’empêcher de prononcer le mot, non que cela me ...