Marie, la brûlante - Histoires de Sexe

Marie, la brûlante

... depuis que j’étais tombée sur un grand amant. En quelques mois, il m’a appris beaucoup : me servir de mon corps, de celui d’un homme ; il a souhaité me voir faire l’amour avec une fille, j’en ai dragué une que j’ai mise dans notre lit ; il m’a partagée avec un copain, j’ai beaucoup aimé l’amour à trois ; nous avons partouzé, j’ai connu les couples les plus chauds de la ville, nous étions reçus avec les honneurs dus à mon jeune âge et ma sensualité débordante.
— Qu’est devenu Pascal ?
— Il a quitté la ville l’année suivante pour partir travailler au Mexique. Il m’a dit : je t’écrirai. Je n’ai reçu qu’une carte impersonnelle pour les vœux, j’ai compris. Mais je n’avais pas trop de peine, j’avais eu un délicieux initiateur, mais au quotidien, il m’aurait probablement lassée. Je passais mes dimanches après-midi à le regarder jouer au rugby, et le soir, je soignais ses bobos. Et puis le lundi, je n’existais plus, il lisait Midi Olympique de A à Z sans s’occuper de moi.
— Et Pierre, alors ?
— C’était le fils aîné d’amis de mes parents, élève brillant, il avait fait médecine pour s’associer avec son père. Quand je l’ai connu, il faisait déjà ses premiers remplacements ; nous avons été poussés dans les bras l’un de l’autre par nos familles qui voyaient l’union de leur patrimoine autant que celle de leurs enfants. Pierre était un garçon calme, organisé, sérieux. Après de somptueuses fiançailles, nous nous sommes mariés. Il n’avait pas souhaité que nous fassions l’amour avant ...

... de nous marier. Je lui expliquai que j’avais perdu ma virginité avec un tampon périodique, il le crut d’autant plus que j’avais entendu la même histoire de la bouche même de son père parlant avec le mien quelques années plus tôt.
— Alors, avec Pierre ?
— Pas terrible. La première nuit, il éjacula avant même de me pénétrer ; il se reprit bien vite, mais éjacula encore trop vite, puis s’endormit. Le lendemain matin ne fut pas plus probant. Je me masturbai en lui demandant de me sucer les seins…
— Depuis, ça a changé ?
— Non, c’est un homme travailleur, excellent médecin, bon père, bon mari, mais mauvais amant. Il en a souffert, puis s’est totalement investi dans son travail. Moi je me suis investie auprès des enfants et, cette année, dans mes études. Je me masturbe souvent, les godes sont d’excellents amis. J’ai pensé prendre un amant mais comment trouver ? Depuis quelques jours, je pensais que j’en aurais un, et depuis quelques heures, c’est fait. Si tu n’avais pas fait le premier pas, je l’aurais fait.

Tandis qu’elle parle, je caresse son ventre. Une nouvelle érection monte. Je pose sa main sur ma verge. Quelques baisers plus loin, mon érection est convenable et sa vulve accueillante. Je la prends sur le côté, ses fesses sur mon ventre, sa main sur mes couilles, ses petits gémissements répondant à mon ardeur. Il me faut longtemps pour jouir…

Je sombre ensuite dans un profond sommeil. La lumière du jour et une forte envie de pisser me réveillent. Je me lève ; à mon ...