Marie, la brûlante
Datte: 19/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
extraconj,
Auteur: Monbel, Source: Revebebe
J’ai connu Marie à la porte de l’école maternelle où nous conduisions nos enfants. Belle jeune femme un peu ronde, elle a un sourire parfait et une longue natte brune dans le dos. J’ai appris peu à peu sa vie ; mariée jeune à un médecin, elle avait arrêté ses études de lettres pour faire deux enfants. L’année de notre rencontre, elle les avait reprises.
En juin elle m’a annoncé :
— Vous n’allez pas me revoir pendant quelques jours, je pars réviser mes examens dans la maison familiale en Vendée.
— En Vendée, je connais bien, c’est mon secteur, vous serez où ?
— Pas loin des Herbiers.
— Me permettez-vous de venir vous saluer ?
— Oui, pourquoi pas, d’autant plus que je ne verrai personne pendant dix jours.
— C’est entendu, je vous retiens à diner le 3 juin, je passe vous prendre où ?
Quelques minutes après, j’avais l’adresse. J’étais surpris qu’elle accepte une invitation seule avec un homme qu’elle connaissait peu.
***
Quelques temps après, je sonne à la porte d’une propriété dans un hameau calme. Marie est là, dans une robe légère. Je m’avance, on s’embrasse. C’est la première fois, ce baiser me trouble.
— Voulez-vous un doigt de Porto ?
— Oui, volontiers.
— Vous avez trouvé facilement
— Oui, vos indications étaient claires.
Nous bavardons quelques minutes. Je l’interroge sur ses révisions, elle est heureuse de mon intérêt.
— Je vais vous montrer des photocopies de documents anciens.
Je la suis vers la table de ferme, il y a des feuilles ...
... partout, classées dans des chemises de couleurs vives. Elle est assise, et moi debout à ses côtés. Je sens l’odeur de ses cheveux et du Numéro 5 de Chanel. J’ai une vue plongeante sur son décolleté… Je regarde les documents avec attention mais, en réalité, je suis traversé par un désir violent. En me penchant je pose une main sur son épaule. Je l’enlève :
— Pardon, excusez-moi !
— De quoi donc ?
— D’avoir posé ma main sur votre épaule.
— Ce n’est pas grave, je n’ai vu personne depuis une semaine, les contacts me manquent.
Je remets ma main sur son épaule et pose un baiser sur ses cheveux. Je sens sa main venir sur la mienne. Je prends son menton, de l’autre main, et relève sa tête ; ses yeux sont clos, j’avance mes lèvres sur les siennes.
Ce premier baiser est long, sensuel. Je plonge ma main sur sa poitrine. Palpe ses seins généreux. Elle se lève, nos lèvres se retrouvent. Je palpe ses fesses, elle caresse ma verge. Je l’assois sur la table, l’allonge au milieu de ses dossiers, tombe à genoux, écarte son slip, aperçois une vulve brune bien velue. Je plonge ma bouche sur des trésors roses, humides et savoureux.
— Oh oui, c’est bon, suce-moi, non pas trop fort sur le clitoris, oui comme ça…
— Tu aimes ?
— Oh oui !
Le slip me gène pour bien déguster sa fente. Je l’enlève, écarte ses fesses au maximum, plonge ma langue sur sa vulve puis son anus.
— Non, pas là !
— Ce n’est pas bon ?
— Si, mais ça me gène…
— Laisse-moi faire.
Peu après, elle ronronne de ...