1. Marie, la brûlante


    Datte: 19/08/2019, Catégories: fh, extracon, Oral pénétratio, fsodo, portrait, extraconj, Auteur: Monbel, Source: Revebebe

    ... plaisir et baigne mon visage d’une abondante cyprine. Je reviens sur sa vulve, elle pousse des petits cris, s’agite, presse ma tête sur son sexe, puis éclate dans un très bel orgasme.
    
    Je me redresse, tombe mon pantalon, me plante en elle d’un coup de rein puissant.
    
    — Hmmm ! Qu’elle est bonne ! Je te sens bien. Oui, comme ça, encore… Tu vas me faire jouir…
    — Tu aimes le sexe, tu cachais bien ton jeu…
    — Oui, j’adore ! Encore ! Plus fort !
    
    Je sors de son vagin et place ma verge sur son anus.
    
    — Je vais t’enculer, je suis sûr que tu es vierge, de ce côté-là !
    — Perdu, j’adore ça !
    
    Je m’enfonce légèrement, elle s’ouvre en grognant, je parviens lentement à loger toute ma queue. Je suis terriblement excité, elle aussi. Elle gémit, je gémis, je frappe de temps en temps ses fesses, elle se tord, crie de plaisir. Son orgasme entraîne le mien, nos cris se mêlent. Je m’effondre sur elle. Nous restons un moment silencieux.
    
    — Marie, Marie la gourmande !
    — Quelle vigueur, quel bon amant tu fais !
    
    Elle se redresse.
    
    — Viens, on va prendre une douche, tu me frotteras le dos.
    
    Nous glissons dans la salle de bains, nous nous mettons nus.
    
    — Tu es très belle…
    — Non, je suis affreuse, je suis trop grosse.
    — Non, tu es pulpeuse, sensuelle, très femme, avec des rondeurs là où je les aime.
    — Bon, si tu le dis, je te crois, enfin ce soir seulement. Toi tu es très beau.
    
    Nous passons sous la douche, je lui frotte le dos et laisse glisser mes mains partout.
    
    — ...
    ... Attention ! Ne me mouille pas les cheveux, ils sont très longs à sécher…
    — Tu m’as toujours attiré, je suis comblé.
    — Toi aussi tu me plaisais ; quand tu as proposé de venir me voir, j’ai pensé que nous dormirions ensemble. Préparons-nous, j’ai une faim de loup, tu m’invites où ?
    — Restaurant de l’Étang Noir.
    — Tu as bon goût, c’est le meilleur du coin. Tu as vu dans quel état tu as mis ma robe, j’en ai pris qu’une, je ne sais pas quoi mettre.
    — Viens nue !
    — Imbécile !
    
    Moins d’une heure après nous nous retrouvons devant un excellent souper. Une bouteille de Saumur Champigny nous met le rouge aux joues.
    
    Sur le chemin du retour, je fouille son entrejambe, elle flatte ma verge.
    
    Ce soir-là, nous faisons l’amour avec tendresse, elle me suce merveilleusement, elle jouit sous mes doigts, ma bouche et ma verge. J’éclate finalement dans sa bouche gourmande.
    
    Après l’amour elle se blottit dans mes bras :
    
    — C’était merveilleux ! Pierre ne sait rien de l’érotisme, c’est un compagnon agréable, il aime son travail et nous fait vivre dans l’aisance, mais au lit, c’est un éjaculateur trop rapide, du coup nous faisons très rarement l’amour ; avec lui, je n’en ai même plus envie.
    — Tu as connu d’autres amants ?
    — Oui, pendant mes études, j’avais un studio à Poitiers. Mon voisin était un jeune ingénieur. En pension, j’avais eu quelques relations homosexuelles mais, au fond de moi, les garçons m’attiraient. Pascal m’a initiée avec un savoir-faire merveilleux. J’ai compris ...