UNE TRANCHE DE VIE 12
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceron, Source: Hds
... que de nouveau elle partit, alors que je restais sur ma faim avec une trique pas possible. J’étais cramponné à ses hanches et continuais à l’investir avec encore plus d’énergie, d’autant que je sentais le plaisir venir et qu’il fallait que je me libère de ce plaisir. Véro, subissait ne disait plus rien, ne faisant que respirer plus fort, puis, je la vis cramponner le dossier du canapé, se cambrer et :
« Oh oui continues, … je te sens, …,
Sentant le plaisir monter en moi, je continuais à la travailler brutalement, ce qui ne semblait pas la gêner, bien au contraire si je m’en tenais à ses gémissements et ses soupirs.
Pendant qu’elle continuait à me subir, sans déplaisir, je finis par sentir que la pression avait atteint son paroxysme et que j’allais jouir et me vider en elle.
Son plaisir se déclencha quelque seconde après le mien et elle m’accueillit avec un « Oui, c’est bon »
Je n’étais pas trop fier de ce qui c’était passé, j’avais été un peu brutal et manquant d’égards vis à vis de ma partenaire, qui aurait pu mettre désagréable.
Chacun de nous reprenant ...
... notre souffle et nos esprits, Véro se mit debout et se collant à moi me dit : « Tu es un salopard, mais tu m’as fait jouir, comme je n’ai pas joui depuis longtemps, embrasses moi »
Puis se levant, elle me « Je vais aller à la salle de bains et prendre une douche »
Pendant qu’elle se douchait je récupérais mes affaires et commençais à me vêtir.
En sortant de la salle de bains, elle dit :
« Tu devrais prendre une douche avant de partir »
Moi : « Pourquoi ? »
Véro : « Tu sens l’amour, tu viens de m’embrasser et sur tes lèvres j’ai senti mon odeur. Si en rentrant tu embrasses AL et qu’elle a un peu de nez, elle te posera certainement des questions auxquelles il te sera difficile de répondre.
Moi : « OK tu as raison. Tu as fait beaucoup de sport ? »
Véro : « Oui, surtout au lycée, j’étais dans la section gymnastique. Pourquoi ? »
Moi : « Parce que tu as un sacré coup de rein »
Véro : « Ça t’as déplu ? Dépêches toi, le temps court »
Le temps courait, il fallu s’en rendre compte et je partis, discrètement, laissant à Véro le soin de fermer l’appartement.