UNE TRANCHE DE VIE 12
Datte: 18/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceron, Source: Hds
Jeudi 28 août 1980 - Jean raconte
À midi, j’allais en reconnaissance pour bien situer l’immeuble, que je connaissais déjà, et dont je voulais observer les environs. Après avoir suivi les instructions de Véro à 12,30 h je frappais 2 coups à la porte de droite. La porte s’ouvrit aussitôt, à peine entré, la porte se fermait et Véro un doigt sur les lèvres pour m’imposer silence me fit signe de la suivre.
Le temps d’aller dans la salle de séjour, j’observais que Véro portait un corsage blanc assez large et une jupe droite bleue courte, même très courte et elle était chaussée d’escarpins à talons hauts. Cela mettait en valeur le galbe ses jambes mais surtout faisait remuer son joli petit cul d’une façon tentante pour des mains baladeuses.
Alors que nous rentrions dans la salle de séjour, jusque là, aucun mot n’avait été échangé, comme elle était juste devant moi, je l’attrapais par la taille et l’attirais à moi. Elle se laissa aller contre moi, je l’embrassais dans le cou et de la taille mes mains remontèrent, vers ses seins qu’elle avait généreux, dont la peau était douce, mais qui étaient fermes que je pris à pleines mains, c’était d’autant plus aisé qu’elle ne portait pas de SG. Je sortais le chemisier de la jupe, alors que Véro défaisait les boutons, le chemisier fut vite jeté sur un fauteuil, pendant que je continuais à l’embrasser dans le cou et lui caressais les seins, le ventre. Elle se laissait faire, même plus elle participait à sa façon en frottant ses fesses ...
... à mon ventre, en fait à ma queue
Me souvenant de ce qu’elle aimait entendre et que ça l’excitait, je lui dit: « J’ai envie de toi »
Véro : « Oui, …, moi aussi et, … »
Moi : « J’ai envie de baiser une belle salope »
Véro : « Oh, … oui, … je suis à toi, … »
De ses seins j’étais descendu vers le bas et essayais vainement de passer une main dans la ceinture de sa jupe pour aller plus bas, mais n’y arrivant pas, je changeais de tactique et relevais la jupe pour essayer d’atteindre son intimité. Peine perdue. Sans hésiter, elle termina le travail et remonta sa jupe jusqu’à la ceinture. Je pouvais ainsi atteindre son intimité et avant de l’entreprendre je remarquais que rien ne cachait sa chatte et je commençais à l’entreprendre gentiment.
Elle s’éloigna un peu de moi, ma main descendit jusqu’à son abricot, elle écarta les cuisses, ce qui me permettait de poser la main sur sa chatte dont les lèvres étaient gonflées et légèrement humides. Je lui caressais la chatte, elle haletait gentiment, et brusquement j’enfonçais un doigt dans son intimité.
Véro : « Ohhhh … Oui, … encore»
Elle glissa une main entre nous deux et défit la ceinture de mon short que je laissais tomber avec le reste. J’en profitais pour placer ma trique entre ses fesses.
Elle se laissa faire puis se retournant elle se colla à moi.
« Embrasse moi »
et dans un souffle doucement dans le creux de l’oreille elle reprit :
« Fais moi jouir, j’ai été une jeune fille et une jeune femme sage ...