1. UNE TRANCHE DE VIE 12


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... et sérieuse, maintenant je veux profiter de la vie, je veux jouir de la vie, fais moi jouir, …, oui, …, fais moi jouir et je ferais ce que ru veux, mais fais moi jouir »
    
    Moi : « La table est là »
    
    Véro : « Dis moi que tu as envie de moi »
    
    Moi : « Tu le sens, oui, j’ai envie de toi, de te baiser, de te faire jouir»
    
    Véro : « Oh oui, encore, dis moi ce dont tu as envie, ce que tu veux de moi, je suis à toi »
    
    Me souvenant qu’elle aimait que je lui dise ce que je voulais d’elle et que cela l’excitait, je lui dis :
    
    « Je vais commencer par m’occuper de tes seins, les lécher, les sucer puis tu vas aller t’asseoir sur la table, bien écarter les cuisses et ouvrir ton joli abricot, pour que je vienne le manger, puis quand tu seras bien chaude bien ouverte je m’enfoncerais dans ta chatte et je la remplirais et tu te caresseras »
    
    « Oh, oui , … occupes toi de mes seins, j’aime que tu les lèches, … »
    
    Effectivement, je me mis à m’occuper de ses seins, que je léchais, suçait, …
    
    « Oui, … têtes moi, … j’aime sentir tes lèvres, ta bouche qui les aspire … ils sont très sensibles et ça m’excite »
    
    Nous étions arrivé contre la table de la salle de séjour, je l’aidais à s’asseoir, sans hésiter elle écarta les cuisses ce qui me permit de me positionner entre et je m’occupais activement des ses seins, quand elle bascula sur les coudes et écartant encore plus largement les cuisses elle me dit :
    
    « Tu aimes mon abricot, dis moi que tu as faim, t’es tenté de vouloir le ...
    ... manger ? »
    
    Comment refuser ? C’est la que je m’aperçus que sa toison était taillée vraiment très courte et ne laissant qu’un petit triangle. Son abricot aux lèvres brun rose bien ourlées étaient fendues par une raie plus foncée.
    
    Quand je m’approchais entre ses cuisses, elle ouvrit sa chatte et dit :
    
    « Régales toi, manges mon abricot, je l’ouvre pour toi, rentres. J’attends ça depuis la dernière soirée»
    
    Je m’en occupais au mieux, le suçais, le léchais, l’aspirais et comme elle se cambrait j’allais plus avant jusqu’à son petit trou qui subit la même épreuve, sans que sa propriétaire se plaigne bien au contraire. Elle était complètement offerte et ouverte.
    
    Après plusieurs va et vient de ma langue de l’un à l’autre de ses trous, alors qu’elle avait la respiration qui s’accélérait, elle me dit :
    
    « Les fruits ça se mange aussi avec les doigts, pas seulement avec la langue »
    
    C’est vrai, je lui enfonçais, assez brutalement, deux doigts dans le sexe, qui pénétrèrent facilement tellement elle était mouillée. Elle poussa un « Oh » de contentement et je commençais à la masturber, puis je retirais mes doigts, j’eu alors droit à « Non, restes, continues », j’allais jusqu’à son petit trou et l’enfonçais légèrement, ce qui me valut l’assentiment de sa propriétaire. Je revenais au sexe et faisais des allers et retours entre chaque trou.
    
    Elle se laissa aller sur la table, les cuisses bien écartées et je décidais de lui « bouffer » la chatte, ce qu’elle sembla apprécier, elle ...