1. Elodie


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, amour, Oral pénétratio, fdanus, fouetfesse, init, couplea3, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... tous les trois. J’ai bien marqué à la jeune femme que je ne voulais que son bonheur, que les expériences malheureuses de son adolescence soient effacées et puis :
    
    — M’acceptes-tu avec vous deux quand tu feras l’amour avec Fred ?
    — Oh oui, Milo, j’en serais heureuse, je me partagerai entre vous deux, je vous aime tous les deux.
    
    Mon homme a donc connu le rêve de bien des hommes, avoir sa femme et sa maîtresse dans le même lit.
    
    Lorsqu’est venu le moment de pénétrer le vagin de notre petite protégée, je l’ai bien préparée, avec une séance complète de nos jeux habituels, lesquels se sont même augmentés de mon introduction digitale de son anus, avec précautions multiples, du discours et de mon pot de crème de jour qui ont concourus à une pénétration onctueuse et sans douleur, suivie de ses cris de bonheur lorsque ma langue a repeint son petit bijou.
    
    Je lui avais bien chauffé les fesses auparavant et ce cunni l’amène au nirvana. Fred est également bien traité, je lui offre ma bouche pour parfaire sa rigidité. J’amène Élodie à califourchon au-dessus du membre viril et en caressant ses fesses un peu chaudes :
    
    — Descends là-dessus doucement, ma chérie, doucement, à ta guise, là, tu as déjà absorbé le gland, le reste va suivre, est-ce que c’est bon ?
    — Oui Milo, ça va bien, c’est très bon, ça va aller…
    
    Et là, je les ai laissés. Je suis allée prendre une douche, avec un petit pincement au cœur, j’ai remis ma petite maîtresse dans les bras de mon amant.
    
    Les semaines ...
    ... et les mois passent. La fin de l’année universitaire approche. Un soir, je rentre du boulot et ma petite bonne se précipite dans mes bras, plus vive et enjouée encore qu’à l’habitude :
    
    — Milo chérie, je suis enceinte !
    
    C’est un coup de poing dans l’estomac. Je cherche où m’asseoir, mes jambes flageolent. Je la dévisage :
    
    — Sais-tu qui est le père ?
    — Ben voyons, tu es folle ? C’est Fred, bien sûr !
    — Mais comment est-ce possible ? Et ton stérilet ?
    — Je l’ai fait retirer par le gynéco, il y a deux mois.
    — Sans rien nous dire ? Sans en référer à Fred, à moi-même ? Est-ce que tu te rends compte que tu as abusé de nous ? De notre confiance ? De notre amour ?
    — Attends ! Attends ! Laisse tomber les grands mots, tu veux ? C’est mon ventre, mon bébé, c’est moi qui l’ai voulu, si vous m’aimez tant, vous m’aiderez à l’élever, sinon je me débrouillerai seule.
    
    Elle disparaît dans sa chambre en claquant la porte. Quelques minutes plus tard, je vais toquer à la porte, pas de réponse et c’est verrouillé. Fred revient du bureau, je l’accueille en lui annonçant la nouvelle, il blanchit d’un coup et s’assoit, il est sonné.
    
    Nous ruminons ce coup de théâtre, en silence, chacun avec un whisky sec. J’ai bien sûr raconté à Fred la scène récente avec la gamine. Il finit par se lever, aller à la porte d’Élodie, toquer en s’annonçant « Chérie, c’est moi, le papa de ton bébé ». Un moment après la porte s’ouvre, Fred disparaît et j’attends.
    
    Ils ne réapparaîtront que deux heures ...
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