1. L'examen


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, portrait, prememois, inithf, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... ma chatte ainsi tu pourras me mettre ta queue en restant habillé.
    
    Je me trouve serré dans ce costume pourtant à ma mesure. Nous sommes nus dans notre vêtement et je constate que la braguette peut s’ouvrir du nombril jusque entre mes cuisses, laissant libres ma pine et mes couilles.
    
    — Je crois que nous allons bien nous amuser. Je n’ai pas de culotte et tu pourras me caresser autant que tu voudras. Quand je serai bien excitée, nous ferons l’amour.
    
    Il n’y a pas grand monde dans le club. Deux couples occupent des tables de coin, bien à l’abri des regards. Nous nous asseyons dans le troisième coin. Aussitôt la serveuse, très court vêtue et les seins bien visibles, vient prendre la commande ; ma compagne y va d’un grand whisky alors que je me contente d’un jus de fruits.
    
    — Regarde bien la serveuse, je pense qu’elle n’a pas de culotte ni de soutien-gorge.
    — Et alors ?
    — Rien mais ça m’excite ; encore un peu et je vais mouiller le velours du fauteuil.
    — Déjà ? Tu vas vite en besogne.
    
    Elle sourit et glisse sa main sous la table à la rencontre de la tirette qu’elle glisse lentement vers le bas et insinue ses doigts sur ma queue qui se dresse presque aussitôt. À ce moment, la sono donne un slow très lent ; un des couples se lève et se met à danser. La femme se colle à son partenaire, lui prend la tête et l’embrasse à pleine bouche. L’homme caresse les fesses de la fille qui passe sa main entre eux à hauteur de son sexe et essaie de glisser ses doigts dans le pantalon ...
    ... du monsieur. Brigitte se lève aussitôt, me prend la main et m’entraîne sur la piste.
    
    — Tu vas voir. La fille me paraît bien excitée. Nous allons les mettre dans tous leurs états ; et ceux qui sont restés assis vont sans doute faire la même chose.
    
    Elle m’enlace étroitement mais laisse entre nos ventres un léger espace qui lui permet d’écarter les pans de sa robe, de sortir de son réduit ma bite déjà bien dure. Elle l’approche de sa fente, écarte suffisamment les jambes et la fait entrer lentement en elle, ce qui se fait sans mal puisque nous sommes de la même grandeur. Puis elle me saisit par les fesses et me colle contre elle tout en m’embrassant à en perdre le souffle. Ouf !
    
    — C’est bon, tu sais ! Je sens ta bite en moi. Fais-toi aller doucement et caresse mes seins.
    
    Sa respiration s’accélère, ses mamelons durcissent ; je glisse une main entre nous pour trouver son clitoris ; il est déjà gonflé ; je le tripote. Elle soupire plus fort, commence à râler ; un coup d’œil vers les autres couples qui nous regardent ; une des filles a dégrafé son corsage et se caresse les seins découverts tandis que son compagnon a posé sa main sur sa chatte et essaie d’y faire entrer un doigt. La fille râle plus fort. Brigitte l’imite ; je pousse de toutes mes forces et je sens son vagin qui serre ma bitte.
    
    — Regarde-moi, dit-elle soudain, je vais jouir. C’est bon ta bite en moi ; ouiiii, je vais jou… ir. Je vais jouir et toi aussi, donne-moi ton foutre. Je veux jouir en même temps ...
«12...789...13»