1. L'examen


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, portrait, prememois, inithf, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... D’un seul coup, j’explosai en criant. Mon foutre gicla dans sa bouche. Brigitte essaya bien de le garder mais il coula sur ses seins puis sur le ventre. Je retombai sur le lit. Je voyais des étoiles partout et une sorte de voile noir me couvrit les yeux. Je savourais le plaisir intense qu’elle venait de me donner. Elle me secoua légèrement ; je la sentis se coucher sur moi et sa bouche humide de mon jus vint se poser sur la mienne.
    
    Je ne sais combien de temps nous sommes restés l’un contre l’autre à profiter de ces instants de bonheur. Nous restions silencieux, enlacés comme deux amoureux qui ont découvert toutes les joies de l’amour. Ce fut Brigitte qui rompit le silence.
    
    — J’ai faim. Le plaisir, ça creuse. C’est comme ça chaque fois que je fais l’amour et que je jouis fort. Toi aussi, tu as bien joui ?
    — Oui, comme jamais en me branlant.
    — Tu vois, à deux, c’est encore meilleur. Moi aussi, je me branle souvent quand Robert n’est pas là. Mais ce soir, ce fut un feu d’artifice. Tu m’as sucée comme rarement je ne l’ai été. Mon petit clito en est encore tout chose. Si ta bite est aussi bonne que ta langue et tes doigts, je crois que je n’ai pas fini de jouir avec toi. Regarde comme je mouille encore, rien que d’y penser.
    
    Elle écarta ses cuisses et à deux mains, elle ouvrit les lèvres de sa chatte en m’invitant à la regarder. Sa chatoune brillait de sa mouille qui s’écoulait lentement entre les cuisses. Je posai les doigts dessus en la caressant et je me penchai pour ...
    ... l’embrasser.
    
    — Je suis prête à recommencer. Tu me rends insatiable, tes doigts sont doux et tu me caresses si bien. Tu vas me faire passer une semaine merveilleuse. Viens maintenant, allons souper.
    
    Elle se leva, m’entraînant avec elle dans la salle à manger. Nous étions restés nus pour nous mettre à table. Le repas terminé, nous sommes allés nous asseoir sur la terrasse. La nuit tombait lentement sur la mer. Nous nous regardions. J’admirais la courbe de ses seins et la ligne de ses jambes qu’elle gardait grandes ouvertes comme une invitation.
    
    — Tiens, dit-elle soudain, si nous allions danser, je connais un petit club très discret dans le bourg.
    — Mais je ne sais pas danser.
    — La belle affaire, je t’apprendrai. D’ailleurs les danses ne sont pas compliquées. Ce sont presque toujours des slows, très lents et qui permettent de rester collés l’un à l’autre. J’y vais parfois avec Robert quand j’ai envie de faire l’amour. La danse m’excite.
    — Comme tu veux, seulement, je n’ai pas de tenue pour aller danser.
    — J’ai tout ce qu’il te faut. Viens l’essayer.
    
    Elle me prend par le bras et m’entraîne dans la chambre. Elle sort de la garde-robe une sorte de combinaison de cosmonaute en tissu léger qui se ferme du cou à l’entre-jambe par plusieurs tirettes que l’on ouvre ou ferme comme on veut.
    
    — Tiens ! Passe ça ! Moi je vais mettre cette robe légère ouverte jusqu’au nombril et qui laisse les seins libres. Regarde comme elle me va bien ; on peut ouvrir le bas à hauteur de ...
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