L'examen
Datte: 17/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
noculotte,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
portrait,
prememois,
inithf,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... paume de bébé. En outre lorsque, tout en préparant les repas, elle venait contrôler mon travail, je la sentais presser sa poitrine ferme contre mon épaule, comme si elle voulait m’exciter. J’en avais la gorge sèche. J’essayais bien de coller mon bras contre sa hanche, mais, avec un petit sourire en coin, elle se reculait un peu pour s’appuyer un peu plus tard contre moi.
— Ce n’est pas le moment de rigoler, me disait-elle en se donnant l’air sévère. Méfie-toi, Robert est très jaloux et s’il te voit me peloter, tu rentreras vite chez toi.
Elle continuait pourtant son petit manège. Mais les maths progressaient. À mesure que la semaine avançait, non seulement je devenais un as en trigo ou en algèbre, mais surtout j’avais de plus en plus envie de Brigitte qui, sans en avoir l’air, m’excitait avec ses robes de plus en plus décolletées. Le samedi arriva et je n’avais pas encore pu la serrer contre moi. Je bandais si fort que ma bite, coincée dans mon slip sans pouvoir sortir, me faisait mal. Je me tortillais sur ma chaise, ce qui faisait rire mon « prof » qui n’avait pas l’air de s’en soucier.
En reprenant les exercices après la sieste, elle virevolta soudain. La robe se souleva et je vis à quelques centimètres une petite chatte frisée. Brigitte n’avait pas remis son slip. Ma main se mit à trembler au point que je lâchai mon crayon.
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
— Ben… rien.
— Comment, rien ? C’est de voir ma chatte qui te met dans cet état ?
— Ben oui ! fis-je en ...
... rougissant jusqu’à la pointe des cheveux.
— Ne me dis pas que tu n’as jamais vu une chatte de femme.
— Non. C’est la première fois.
Elle partit d’un grand éclat de rire et, se penchant pour bien ouvrir son décolleté, elle me donna un petit baiser sur la bouche, puis se recula pour me regarder. Ses yeux brillaient. Elle posa sa main sur mon épaule et se mit à me caresser lentement le cou, remonta vers le visage et passa doucement un doigt sur mes lèvres. Je fis un geste vers elle, tendis la main vers sa poitrine. Je sentis dans ma paume le bout de sein se gonfler à travers la robe. Brigitte s’approcha, se pencha de nouveau et, prenant mon visage dans ses mains, posa sa bouche sur la mienne.
— Donne-moi ta langue, souffla-t-elle. Tu n’as jamais embrassé une femme ? Laisse-moi faire, je vais t’apprendre.
Je sentais sa langue contre la mienne. Je me mis doucement à la lui sucer et elle s’écarta.
— Oh là là ! Tu apprends vite. Je crois que nous allons bien nous amuser tous les deux. Je vais t’apprendre beaucoup de choses, car je crois que tu en as besoin.
— Pourquoi fais-tu cela ? dis-je. Ce n’est pas prudent, si ton mari rentrait, il ne serait pas heureux de te voir m’embrasser comme ça.
— Ne t’inquiète pas. Il est allé en ville téléphoner à son patron. Il a reçu ce matin un mot lui demandant de rentrer lundi. Profitons-en un peu. Allez, embrasse-moi plus fort et serre-moi. Tu embrasses bien, tu me fais mouiller. Heureusement que je n’ai pas de culotte sinon je ...