L'examen - Histoires de Sexe

L'examen

... tirant dessus. Les bouts gonflèrent et devinrent durs comme des petits cailloux.

— Regarde comme ils sont durs, mes bouts de seins.
— Oui, dis-je, d’une voix tremblante.

Elle continua à se caresser les bouts des seins puis lentement sa main droite descendit vers le ventre, tandis que l’autre continuait inlassablement sa caresse. Elle glissa sa main dans sa petite culotte. Je remarquai que celle-ci laissait apparaître une tache humide.

— Je mouille déjà, rien qu’à me caresser les seins. Qu’est-ce que ça va être quand tu vas t’occuper de moi. Je serai fondue.

Ses yeux dans les miens, elle fit lentement glisser sa petite culotte rose déjà mouillée par ses caresses. Elle la jeta, ouvrit les jambes pour que je voie bien sa chatte dont elle écarta les lèvres avec sa main gauche. De l’autre, elle se mit à se caresser d’abord doucement. Elle ouvrait et fermait les yeux, poussant de temps à autre un soupir de plaisir. Je ne tenais plus et voulus me déshabiller. Elle m’en empêcha d’un regard.

Ses caresses s’accéléraient et elle faisait entrer son médius dans son vagin tout en frottant de son pouce son clitoris maintenant bien visible. Elle soupirait plus fort et je regardais en tremblant, la bite gonflée comme jamais, cette femme qui me montrait comment elle se faisait du bien. Elle me parla sans arrêter ses caresses.

— Comment me trouves-tu ? Cela t’excite de me voir me câliner la chatte. Ne bouge surtout pas avant que je t’y invite et regarde bien quand je vais ...

... jouir. Tu vois comme mon clitoris est gonflé.
— Oui, répondis-je, la voix couverte. On dirait un bout de sein, tellement il est gros.
— Alors c’est qu’il est à point. Viens tout près de moi et pose ta langue dessus. Tu fais comme hier avec tes doigts. Fais-moi jouir très fort et après, je m’occuperai de ta bite qui doit en avoir marre d’attendre. Elle doit être énorme, comme je les aime.

Je me penchai sur elle, la langue dardée. Je la posai sur son clitoris et la fit tourner comme elle me l’avait demandé. Son ventre se mit à remuer. Je sentais sur ma langue son jus salé qui coulait comme une petite source. Il me vint alors une idée. Je l’avais vue enfoncer son doigt dans son vagin et je fis de même. Lentement tout en léchant son clitoris, j’introduisis mon doigt dans le trou bien ouvert. Cela lui fit l’effet d’une secousse. Elle gémit doucement en me disant des mots sans suite. J’accélérai le mouvement de ma langue et de mon doigt. Alors elle se déchaîna, serrant ma tête entre ses cuisses et, de ses deux mains, l’appuyant contre sa chatte à m’étouffer. Son jus coulait plus fort. Elle criait.

— Oh ! Chéri !, que c’est bon. Oui ! C’est bon ! Comme tu me suces bien. Prends mes petites lèvres avec, fais aller ton doigt bien vite. Vas-y, mon amour ! C’est délicieux. Comme ta langue est bonne sur mon gros clito. Encore ! Encore ! Encore. Ça vient ! Je vais jouir. Oooooh ! Ouiii ! Encore ! Plus vite ! Ouiiiiiiiii ! Ça vient ! Ouiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiis ! Je jouiiiiiiiiis ! ...