1. L'examen


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, portrait, prememois, inithf, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... un dernier soupir, elle me regarda.
    
    — Qu’est-ce que tu m’as fait ? Pour une première fois, tu peux être fier de toi. J’attends de passer la nuit dans tes bras. Qu’est-ce que ce sera alors. Vivement demain. Robert part et nous serons rien que tous les deux.
    
    Elle s’écarta lentement. Ses yeux brillaient et je crus qu’elle allait pleurer. Mais non, ce n’était qu’une petite larme de plaisir.
    
    — Allons, maintenant. Fini la gaudriole. Au travail, il te reste des exercices à faire avant que Robert ne rentre. Tu ne perds rien. Ton attente sera récompensée.
    
    Je fus étonné de sa réaction. En quelques instants, elle était passée du plaisir au sérieux. Enfin. Je crois qu’il ne faut pas se poser trop de questions. La soirée fut joyeuse. Il était plus de minuit quand je montai me coucher. Je n’arrivais pas à dormir. J’avais devant les yeux l’image des yeux brillants de Brigitte, de son visage tout rougissant de plaisir et de ses lèvres tremblantes au moment de l’orgasme. Je n’arrivais pas encore à m’imaginer que j’avais fait jouir une femme la première fois que je la caressais. Je ne dormais pas et j’entendais distinctement les soupirs et les gémissements de Brigitte qui faisait l’amour avec son mari. J’en étais presque jaloux. C’est idiot mais c’est ainsi. Je finis par tomber de sommeil.
    
    Le lendemain, Robert s’en alla après le repas de midi car il devait se taper près de six cents kilomètres pour rentrer. Quand il fut parti, je m’enfermai dans ma chambre et me remis au travail ...
    ... sans tarder. Il y avait encore beaucoup de problèmes à résoudre. Vers six heures, je sortis, la tête farcie de maths. Brigitte m’attendait au salon, bien étendue sur le divan, la robe courte relevée, les cuisses ouvertes qui découvraient une petite culotte rose et transparente. Son attitude ne laissait planer aucun doute sur ses intentions à mon égard.
    
    — Et alors ? Tu m’abandonnes ?
    — Non. Mais j’avais envie de travailler.
    — As-tu fini, au moins ? me dit-elle en se levant du fauteuil.
    — Oui, pour aujourd’hui.
    — Viens, allons prendre l’apéritif.
    
    Elle passa derrière le bar et revint avec les verres.
    
    — Tiens ! Bois ça. Ça va te ravigoter.
    
    Elle se planta devant moi, le verre à la main. Elle me regarda dans les yeux, puis, après avoir bu une gorgée, posa son verre et me tendit la main.
    
    — Viens, mon grand, nous avons le temps avant de souper. Je vais t’offrir un apéritif sans alcool dont tu te souviendras.
    
    Je me laissai entraîner vers la chambre. Brigitte fit tomber sa robe et s’étendit sur le lit. Je voulus faire un pas vers elle mais elle m’arrêta.
    
    — Ne sois pas pressé. Laisse-moi faire, je vais te montrer ce qu’est une femme. Ne dis rien. Tu ne bougeras que quand je te le dirai. Assieds-toi près de moi sur le lit et regarde bien.
    
    Ses yeux plongés dans les miens, elle commença à se caresser les seins fermes qui se passaient aisément de soutien-gorge. Elle prit ses mamelons entre le pouce et l’index et les tourna dans tous les sens en les pinçant et en ...
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