1. Marine, Belle-maman (1)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... braguette qui s’ouvrent. Le baiser que nous échangeons me coupe le souffle ! Pas étonnant que sa fille embrasse tellement bien !
    
    Elle a repoussé mon slip ! Elle tient dans sa main mon membre qu’elle vient de mettre à l’air. Je la laisse faire alors qu’elle le branle lentement. Elle n’a pas oublié ces gestes élémentaires ! C’est bougrement bien fait et c’est bon. Tout en nous caressant mutuellement nous avons doucement changé de place et nous sommes au bord du canapé. Elle se fait chatte, ronronne presque alors que sa bouche reste en contact permanent avec la mienne. Je retrouve dans ces baisers un peu de ceux de Claude.
    
    Avant de l’allonger sur le divan, je remonte la jupe et je vois apparaitre la culotte rouge qui m’a tant plu tout à l’heure. J’en étais sûr, je le savais ! Quand j’ai fait glisser le dernier rempart de la vertu de Marine, je découvre une forêt de poils bien entretenus. Depuis combien de temps n’ai-je pas senti une pareille touffe dans ma main ? C’est beau les poils de femme quand ils sont bien taillés, c’est excitant, tellement que j’en bande davantage encore, comme si c’était possible.
    
    Nous sommes sur le divan et la bouche de ma belle-mère est occupée par ma bite qu’elle a si bien fait grossir. Elle me pompe le nœud et je peux dire que j’apprécie. Je la regarde quelques instants, avant de me laisser enivrer totalement par cette caresse buccale que j’amplifie par de langoureux mouvements de mon bassin. Mes hanches roulent et ma pine s’enfonce dans ...
    ... cette bouche gourmande qui semble aimer cela. Je me laisse aller et je plonge moi aussi, mon visage dans cet entrecuisse largement ouvert et dénudé.
    
    Les poils fins que j’écarte pour chercher l’entrée de la fente m’excitent encore plus. Elle râle sous l’arrivée de ma langue qui ne se prive plus pour visiter cette offrande féminine. J’ai envie, je suis impatient et elle continue de faire passer sa langue sur mon gland qui me fait frissonner. Cramponnée à mes fesses, elle lape comme un jeune chiot, mes bourses qui flirtent avec son visage.
    
    Ce soixante-neuf nous comble d’aise elle et moi. J’entends ses soupirs qui font écho aux miens et nous allons plus avant encore dans ce corps à corps enivrant. Je ne pense plus à Claude, je ne sais plus que c’est sa mère qui réagit de pareille manière sous mes coups de langue. Les poils de son pubis me rendent dingue, je plonge mes doigts dans cette foufoune béante et elle mouille. Son envie est palpable et elle se transforme en cette rosée qui me rend cinglé.
    
    J’ai une furieuse envie de la baiser, mais je recule ce moment au maximum ; je veux d’abord découvrir ce ventre, ce corps que je n’ai jamais vus que vêtus. Quand les petits seins pointus sont à l’air libre, j’en apprécie les contours et les malaxe affectueusement. Les tétons sont tout durs, ils sont longs et sombres, une invitation à entrer dans ma bouche. Je ne me prive pas pour le faire et elle gémit, elle dit des mots que je ne comprends pas. Peut-être me traite-t-elle de salaud ...
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