1. Marine, Belle-maman (1)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... Je n’y ai pas encore songé ! J’ai juste acheté, il me faut bien loger tous ces livres que je lis avec plaisir ! Je ne voudrais pas abimer les bouquins que j’aime !
    
    — Si vous voulez, je passerai ce soir en fin de journée pour vous monter cette bibliothèque ! Ça ne devrait pas être trop compliqué et ce sera peut-être dans mes cordes !
    
    — Je ne voudrais pas abuser de vous, Michel !
    
    — Enfin belle maman, puisque je vous le propose c’est que cela ne me dérange pas ! Je viendrai après dix-huit heures !
    
    Nous passons tous trois à table. Le repas servi est comme d’habitude, excellent. Le vin qui l’accompagne vient tout droit de la cave qu’Henry avait aménagée sous la maison ! Je me sens d’humeur plaisante et je regarde du coin de l’œil, ces deux femmes qui transpirent la complicité. Je me surprends aussi à penser que Marine a de beaux restes et que celui qui la rencontrera aura bien de la chance. Elle est radieuse et cette tendresse qui émane d’elle, déteint agréablement sur sa fille. Du reste en les regardant à la dérobée, dans chacune des tâches domestiques qu’elles font en commun je vois tellement de similitudes. Elles sont belles toutes les deux !
    
    En voyant la fille, je devine la mère, et en regardant la mère j’imagine mon épouse dans quelques années. Je pose mes yeux sur ces deux croupes qui vont et viennent devant moi, comme elles sont similaires, toutes pareilles, avec les mêmes cambrures, avec les mêmes tressaillements. Pourquoi me donnent-elles ainsi envie, ces ...
    ... deux-là ? Finalement je me dis que Marine, si elle est aussi bonne au lit que sa fille, doit être une affaire ! Pensée salace d’un homme qui n’est pourtant pas en manque d’amour, de sexe !
    
    Je suis reparti, mon bureau m’attend. Mais il reste cette idée dans ma caboche de la croupe de ces deux femmes qui sont trop semblables. Arrête ! Arrête donc idiot de penser à de pareilles choses ! Tu n’as donc aucune pudeur ? Cette femme c’est la mère de ton épouse ! Tu deviens dingue ou quoi ? Mais quand une idée pareille est dans mon crâne, j’ai bien du mal à l’extirper. Je l’ai vue des milliers de fois Marine et jamais, jamais, je n’ai songé un seul instant que je puisse un jour la désirer. Je l’ai toujours vue comme ma belle-mère ; mais là, je viens d’entrevoir la femme qui se cache en elle.
    
    Je regrette presque de m’être porté volontaire pour lui monter son meuble. Pourvu que Claude soit restée chez elle. Ce serait mieux, mes pensées seraient ainsi détournées. C’est à cela que je songe alors que je fais le trajet qui me ramène vers Remiremont. Mais la « Ford » n’est plus rangée dans la cour.Bon et bien, reste sage ! Nous y voilà, à toi de jouer bricoleur du dimanche.
    
    — Vraiment, Michel, ça me gêne énormément que vous vous soyez dérangé pour moi ! Claude est rentrée, une de ses amies devait passer la voir dans l’après-midi !
    
    — Ce n’est pas grave, je vous ai proposé et je vais vous monter cela. Ce ne sera pas bien long !
    
    J’ai dit cela en tentant de détourner mon regard des ...
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