Le goût des hommes
Datte: 13/08/2019,
Catégories:
hh,
hépilé,
vacances,
piscine,
campagne,
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
fouetfesse,
init,
confession,
inithh,
Gay
hsoumisah,
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... qu’il déposait sur mon œillet une crème douce et onctueuse. Le plaisir ne se fit pas attendre. Il m’enduisait la raie d’un onguent très agréable et de son doigt me tartinait l’intérieur du cul. L’effet ne se fit pas attendre : une merveilleuse chaleur m’envahit ; j’avais les fesses en feu, et ma rondelle qui en redemandait était aussi chaude qu’un feu de forêt. Je sentis mon amant s’enhardir sur ma rondelle, m’enfilant avec un doigt, puis deux, puis trois doigts. Au fur et à mesure mon trou se dilatait sous ses assauts répétés.
— T’aimes ça… Tu sens cette crème qui te chauffe ? Eh bien, c’est pour dilater ta rondelle, ma chérie, pour que tu sentes juste quand je t’encule : ça va juste te chauffer ton trou et moi ma queue quand je te limerai. Tu vas aimer, ma petite pute.
— Oui, continue, défonce-moi.
Mon merveilleux amant, continuant majestueusement son travail de dilatation anale, vint se placer devant moi, m’offrant une vue imprenable sur sa queue tendue. Une bonne queue d’environ 15 centimètres, mais très grosse, avec un énorme gland violacé. La grandeur ne m’impressionnait pas car j’avais déjà pris 20 centimètres ; mais une telle grosseur… Comment prendre un tel engin dans le cul sans hurler de douleur ? Même en bouche, je n’étais pas sûr de pouvoir le gober. Ceci dit, mon amant prenait vraiment soin de son corps car côté sexe, c’était épilation totale. Pas un poil, ni sur les couilles, ni au bas-ventre. Fesses et cul rasés de près : une vraie merveille à ...
... caresser. Je voyais déjà quelques gouttes de pré-cum perler à son méat. Sans le prendre en bouche – prudence – j’avançai la pointe de ma langue et recueillis ce nectar avec délectation. Je tentai d’enfoncer mon bout de langue dans son méat très dilaté.
— Continue, branle-moi les couilles pendant que tu lèches ma tige. Mouille-la bien ; vas-y, crache dessus.
Excité à fond, il ne cessait d’une main de me travailler mon trou en m’enculant toujours plus profond pour me dilater, et de l’autre main me fessait copieusement le cul en feu. Un pur bonheur, surtout qu’il me voyait soumis et offert à ses assauts les plus pervers. Sans plus attendre, je crachai abondamment sur son sexe, je saisis queue et couilles qui tenaient difficilement dans ma main et commençai une pipe gourmande en le branlant sensuellement. Je tentais d’engloutir ce gland violacé, j’emprisonnais d’une main ses couilles en les pressant furieusement comme pour extraire le foutre qui s’y trouvait. J’avais mon amant à ma merci. Je sentais sa douleur dans son souffle, mais il devait aimer ce traitement car sa queue se tendait à chaque que je maltraitais ses couilles. Son bassin ondulait au rythme de son désir. Il me fallut ouvrir grand ma bouche pour happer sa grosse tige. Le pervers me baisait par la bouche ; il me limait les amygdales, je sentais son gros gland buter contre mon palais. J’étais en extase. Sensation de soumission. C’était extraordinaire. Plus mon amant en voulait, plus je m’offrais, et ses mains qui ...