Le goût des hommes - Histoires de Sexe

Le goût des hommes

... fessaient mon cul me mettaient les fesses en feu.

— Ouvre bien ; je vais jouir, et tu vas tout avaler, ma petite gourmande.

Ses mots électrisèrent mes sens. J’étais à quatre pattes, le cul dilaté, la bouche pleine, le cul comme un brasier, et j’allais recevoir tout son foutre comme une offrande.

— Tiens prends, prends tout, avale, vide-moi bien les couil…

José finit sa phrase dans un râle, et un premier jet de foutre gicla sur mon visage ; je m’empressai de le reprendre en bouche pour boire sa semence. Le salaud n’arrêtait pas de jouir : il m’a fallu déglutir plusieurs fois pour tout avaler. Moi qui voulais déguster…

Mon amant avait lâché mon cul pour s’étendre sur le dos, les bras et les cuisses en croix. J’en ai profité pour le reprendre en main et vérifier si réellement ses couilles étaient vides. Sa queue toujours tendue accepta mes caresses, et après quelques va-et-vient je réussis à faire jaillir trois nouvelles giclées de sperme. Les traînées de foutre se répandirent sur son bas-ventre ; il ne me restait plus qu’à faire sa toilette et savourer sa liqueur.

Il me regardait faire, et cela devait lui plaire car déjà sa bite reprenait consistance. Je n’osais pas trop le caresser, par respect pour le repos du guerrier ; mais de lui-même il commença à se branler lentement afin de reprendre vigueur. Tout en se caressant, il me demanda :

— Ça t’a plu, ma chérie ?
— Oui, beaucoup…
— T’as aimé boire mon foutre ?
— Oui, beaucoup, j’ai adoré.
— Viens, me ...

... dit-il, fais-moi goûter mon jus.

J’avais son foutre plein le visage, ma bouche et mes lèvres barbouillées de sa semence. Je déposai sur ma langue une grande quantité de sa liqueur bien épaisse. Là, joignant le geste à la parole, je lui roulai une pelle d’enfer. Le salaud me prit la bouche en léchant goulûment son foutre.

— Regarde, me dit José, tu m’excites terriblement.

Pour toute réponse, je l’invitai à prendre l’initiative.

— Ordonne, j’obéis. Je suis ta putain.
— Oui, ma petite pute, viens. J’ai très envie de ton petit cul, maintenant qu’il est bien dilaté.
— Oh oui, encule-moi…
— Tu aimerais ?
— Oui, mais va doucement : c’est la première fois. J’en ai très envie, et je veux bien te sentir me pénétrer.
— T’es une belle petite salope, toi !
— Oui, et je crois que t’aimes ça, non ?
— Oui, viens à califourchon sur moi.

Mon amant avait déjà sa bite bien raide, et son invitation à m’empaler dessus attisait mes sens.

— Je te laisse faire, précisa José. Viens te faire baiser, encule-toi sur ma bite, sale petite pute.

Toujours sur le dos, je m’installai sur lui en écartant mes cuisses, une jambe de chaque côté, et d’une main je plaçai son gland encore luisant devant l’entrée de ma rondelle. J’appréhendais un peu, vu le diamètre de son sexe. Il décela une certaine crainte et me rassura :

— N’aie pas peur : avec le traitement que je t’ai fait, tu vas t’empaler. Viens que je t’encule.

Ces mots résonnaient dans ma tête et amplifiaient le désir de me ...