Le goût des hommes
Datte: 13/08/2019,
Catégories:
hh,
hépilé,
vacances,
piscine,
campagne,
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
fouetfesse,
init,
confession,
inithh,
Gay
hsoumisah,
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... vue impudique de mon anatomie. J’étais nu sur son lit ; j’avais placé son oreiller sous mes fesses afin de me surélever. J’écartai les cuisses au maximum. D’une main je me titillais la rondelle comme pour l’inviter dans ses fantasmes, et de l’autre main j’avais attrapé queue et couilles que je malaxais sensuellement. Nos regards se croisèrent ; je fixai son regard intense et matais en même temps sa main qui le branlait.
— C’est ça, me dit-il, chauffe-toi bien. Je vais m’occuper de ton petit cul de pépé ; tu veux ?
Pour toute réponse, j’écartai davantage mes jambes en me branlant et j’enduisis mon index de salive afin de lubrifier mon rondelle en lui offrant mon plus beau sourire.
— Tu m’excites, petit pédé ; je vais te bouffer ton petit cul, tu sais.
À peine sorti de la douche, je m’y engouffrai en frôlant de la main son sexe tendu.
— C’est ça, ma chérie, allume-moi bien. Après, je vais te défoncer ton petit trou.
J’étais trop excité pour m’attarder sous la douche. En une minute je me savonnai, me rinçai et sautai dans le lit en me lovant contre lui. Il me retourna comme une crêpe, puis de ses deux mains attrapa mes hanches et suréleva mon bassin pour lui offrir mon cul. Il m’écarta la raie au maximum pour y enfouir son visage. J’étais aux anges ; je me cambrais pour lui donner ce qu’il désirait tant : mon œillet. Sa langue s’insinua délicatement ; le salaud savait y faire et ne devait pas être à son premier bouffage de fion. Il crachait abondamment sur ma ...
... rondelle et il frottait sa barbe naissante sur ma raie, ce qui décuplait mon excitation. Afin de l’exciter davantage, mon langage devint aussi cru que le sien.
— C’est bon, salaud, continue. Bouffe-moi la raie bien à fond.
— Oui, petite salope, écarte-toi bien le cul.
Il prit mes mains qu’il plaça sur mes fesses, m’obligeant à écarter davantage ma raie. J’étais comme je désirais être : à quatre pattes, offerte et soumise comme une pute ; sa pute. La tête contre le lit et le cul ouvert, ma queue était plaquée contre mon ventre et tellement tendue que je souffrais de sa raideur extrême. Sans cesser de me bouffer la rondelle, mon amant se saisit de mon sexe qu’il retourna complètement pour me sucer. Je bandais si fort que ce changement de direction à 180° doubla ma douleur et mon plaisir. J’étais écartelé, fouillé, je bandais comme jamais. Je cambrais mes reins à me faire mal au dos, j’écartais mes fesses, mes cuisses ; j’en voulais davantage et mes désirs se réalisèrent : sa bouche mouilla goulûment mon trou et il plaça son doigt dessus.
— Tu veux, petit salaud ? me dit José. Tu veux te faire doigter, que je te fouille ?
Pour toute réponse, j’offris ma croupe et creusai mes reins en offrande.
— C’est ça, donne-moi ton cul de chienne.
Un frisson me parcourut lorsque mon amant me pénétra de son majeur.
— Tu aimes ? demanda-t-il. Tu en veux plus ?
C’est dans un râle de plaisir qu’il obtenu ma réponse.
Sans savoir le sort que José me réservait, je sentis ...