Solange et Cécile - Chapitre II
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
douche,
amour,
massage,
intermast,
Oral
lavement,
fouetfesse,
init,
initff,
Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
... Elle s’arrête :
— Ça va ? Tu en veux encore un peu ?
Et comme j’ai dit oui elle reprend de la même manière quelques minutes. Mon popotin a maintenant atteint une bonne température. Elle glisse sa main vers ma vulve et me caresse légèrement, lentement, jusqu’à l’orgasme qui survient vite et fort.
— Voilà ma biche, c’était ma première fessée. Comment tu trouves ?
— Je pense que j’en redemanderai…
— Parfait, c’est bien ce que j’espérais entendre.
Depuis c’est devenu une habitude. Je sais que si je veux lui faire plaisir, je n’ai qu’à demander la fessée. Elle procède toujours de ma même façon, ou plutôt elle m’amène insensiblement à supporter des tapes un poil plus sèches, une durée un poil plus longue.
Un beau jour, elle sort le martinet. Comme je me récrie, elle me rassure :
— N’aie pas peur, ma chérie, ce n’est pas pour tes fesses mais pour les miennes.
Et comme j’ouvre des yeux ronds :
— Eh oui, j’aime ça, figure-toi, mais il faut d’abord que tu apprennes à t’en servir.
On bourre une taie avec deux oreillers bien tassés, de façon à obtenir une sorte de boule. Elle me met l’engin dans la main et me guide le poignet et nous fouettons les oreillers. J’apprends ainsi à doser la force des coups ainsi que le groupement des lanières. Lorsqu’elle m’estime prête à faire mes premières armes avec cet instrument, elle se déculotte et s’installe sur le lit comme elle l’a fait faire à ses copines devant moi, puis me dit :
— Vas-y ...
... doucement, chérie, je te dirai.
Je commence en caressant son postérieur avec le bouquet de lanières.
— Plus fort ! dit-elle.
Je fouette doucement en m’efforçant de me souvenir de la leçon.
— Plus fort ! répète-t-elle.
Après bien des hésitations je finis par trouver le geste qu’elle souhaite. Comme ses fesses sont devenues bien roses, je m’arrête.
— Que fais-tu ? Ça vient ? Donne-moi une bonne fessée, s’il te plaît !
Alors je fouette, j’augmente progressivement la cinglée, je compte toujours jusqu’à quatre entre les coups, elle prend ainsi une vingtaine de cinglons sur son beau derrière qui était blanc mais est devenu bien rouge. Elle s’affale à plat ventre, je cesse de fouetter et la laisse en paix. Je demande :
— As-tu de la pommade ?
— Oui mais je n’en veux pas, je suis bien, tu as bien travaillé, laisse-moi un moment.
Je me retire, la laissant cuver sa fessée, et m’en vais m’asseoir au salon sur le canapé. Elle m’y rejoint une demi-heure après :
— Je n’ai pas le courage de remettre ma culotte. Tu m’acceptes comme ça jusqu’à l’heure du coucher ?
— Comment te sens-tu ? Toujours pas de pommade ?
— Si, maintenant j’aimerais bien. Va dans la salle de bain, c’est un tube de Biafine.
À mon retour, elle dit en souriant :
— C’est à mon tour de m’étendre sur tes genoux…
— Je préfère te caresser les fesses que te fouetter, tu sais.
— Eh bien, je t’assure que tu vas devenir un très bonne fouetteuse, tu m’as donné beaucoup de plaisir.