1. Solange et Cécile - Chapitre II


    Datte: 12/08/2019, Catégories: ff, fbi, fplusag, douche, amour, massage, intermast, Oral lavement, fouetfesse, init, initff, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... montre-moi ton derrière maintenant, tu veux bien ?… Bon, il est certain qu’elles ne t’ont pas frappée comme des sauvages puisque l’on ne voit plus aucune trace aujourd’hui. C’est bien vrai que tu as un petit popotin adorable, dit-elle en caressant, mais tout de même, c’était à moi de te faire découvrir le plaisir que l’on peut ressentir à la fessée, non ? C’est aussi pour cela que j’étais tellement furieuse. D’autre part, tu as sûrement éprouvé beaucoup de honte car j’ai bien vu que tu es très pudique ; tu dois commencer à te sentir vengée maintenant, non ?
    
    Je ne sais que répondre, tellement j’éprouve encore du mal à clarifier mes impressions sur ce fameux lundi. Le lendemain, Solange poursuit son action de justicière. À notre arrivée chez Geneviève nous y trouvons Alice. Je les embrasse toutes deux mais Solange abrège les amabilités et fait signe à Alice que la séance peut commencer. Celle-ci s’abstient de protester, se déchausse et retire son pantalon noir, qu’elle plie soigneusement avant de monter sur le canapé. Solange la déculotte et je peux constater qu’Alice est une authentique rousse bien que ses belles fesses blanches soient dépourvues d’éphélides. Elle reçoit la même raclée de martinet que sa copine la veille, à ceci près qu’à chaque volée elle couine comme un chat coincé dans une porte. Nous repartons en laissant à Geneviève le soin de pommader et consoler la victime larmoyante.
    
    Puis vendredi c’est au tour de la belle Françoise qui, elle aussi, s’incline ...
    ... devant la volonté vengeresse de Solange, non sans crier et pleurer.
    
    — Voilà, déclare solennellement Solange, ma petite Cécile est maintenant sur le même pied que vous trois, nous pouvons reprendre des relations équitables.
    
    Sur le chemin du retour, je ne peux m’empêcher de remarquer :
    
    — Finalement, il me semble que c’est Geneviève qui a le mieux encaissé la punition, non ?
    — Non, tu manques d’expérience en la matière, le martinet est un merveilleux instrument dont le maniement est très délicat. Ce que tu as cru observer n’est que le résultat de la façon dont je les ai traitées chacune.
    — Le fait est que je n’ai pas vu la différence…
    — Je pense que Geneviève l’a vue, elle. J’ai été moins sévère avec elle parce qu’elle a su calmer un peu le feu de tes fesses puis t’amener au plaisir.
    
    *****
    
    La vie continue. Jérôme appelle le plus souvent qu’il peut sa mère et moi, et nous partageons étroitement ces nouvelles. Nous nous ménageons chaque jour des moments de tendresse complice, chaque jour plus tendres, chaque jour plus complices.
    
    Il y a le café d’après déjeuner, dans le canapé, toutes deux serrées, souvent enlacées. Le soir aussi nous retrouve, après le dîner, au même endroit. Un peu de télé, rarement, de la lecture, plus souvent, ou bien encore rien du tout : les yeux dans le vague nous goûtons le bonheur d’être ensemble.
    
    Un dimanche matin nous nous retrouvons à la cuisine, bisous de bonjour, petit déjeuner moins gai, moins souriant que d’habitude, et Solange ...
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