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Solange et Cécile - Chapitre II
Datte: 12/08/2019, Catégories: ff, fbi, fplusag, douche, amour, massage, intermast, Oral lavement, fouetfesse, init, initff, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
Résumé du chapitre I : (voir n° 15099) Cécile, licenciée en droit de 22 ans, a dû emménager chez sa « belle-maman » Solange, alors que son compagnon, Jérôme, s’est expatrié au Brésil. Les deux femmes s’entendent à merveille mais Cécile a été attirée dans un traquenard par trois amies de Solange, absente, qui lui ont appliqué une fessée assez sévère. Le lendemain Solange revient et m’explique : — J’avais une convocation à Toulouse pour un dépistage de cancer. Je te rassure tout de suite, je me porte comme un charme. Prochain examen dans un an. Et toi, que me racontes-tu ? Hier chez Geneviève, ça s’est bien passé ? — Très bien. — Hum ! Tu en es bien sûre ? Que s’est-il passé ? — Mais non ! Rien, je t’assure, ce fut une journée très agréable, toutes les trois ont été très gentilles. — Comment ça, les trois, Alice et Françoise étaient là aussi ? — Heu…oui, pourquoi ? — Ça m’étonne que Geneviève ne m’en ait rien dit. Enfin, elles ont été sympas ? — Très sympas. Nous en restons là. Quelques heures plus tard, Solange revient de courses, et à sa mine je me doute qu’elle est très préoccupée. Aussitôt elle m’entreprend : — Dis-moi, j’ai rencontré Françoise qui m’a raconté votre après-midi chez Geneviève. Je comprends bien ta discrétion et je t’en félicite. Mais je suis folle de rage contre ces trois belettes qui se sont permis des choses… inqualifiables ! — Oh tu sais, pour moi c’est digéré… — Non, pas question d’en rester là, on ne traite pas ma petite fille ...
... comme ça, sans m’en avoir parlé auparavant, ça n’en restera pas là, crois-moi, je vais leur causer du pays ! Le mercredi après déjeuner, au moment de partir en promenade, elle m’appelle dans sa chambre, ouvre un tiroir de sa commode et en sort… un martinet. — Tu vois cet instrument ? Eh bien elles vont en tâter toutes les trois, et sous tes yeux encore ! Nous commençons par Geneviève, qui n’ouvre pas sa boutique avant 16 heures. Elle nous accueille avec des bises affectueuses mais un vague air inquiet. Solange attaque d’emblée : — Peux-tu nous accorder quelques instants ? — Oui, bien sûr, de quoi s’agit-il ? — Allons au salon, si tu veux bien. Nous nous installons et Geneviève reprend : — Eh bien, qu’arrive-t-il ? — Tu dois bien en avoir une petite idée ? — J’imagine que Cécile a pleurniché à sa maman ? — Voilà qui n’arrange pas ton cas, Geneviève. Il se trouve que Cécile n’a rien voulu me révéler, c’est Françoise qui a vendu la mèche. Par contre, en ce qui me concerne, j’ai la ferme intention de ramener les compteurs à zéro. — Et que comptes-tu faire ? Solange ouvre posément son sac et en sort le martinet. — Ho ! Ho ! L’artillerie lourde ! Et comment penses-tu t’y prendre ? — De la façon la plus simple qui soit. Quand ? Tout de suite en ce qui te concerne, demain pour Alice, vendredi pour Françoise. Où ? Ici même, sous les yeux de la petite. — Et si nous refusons ? — Je tirerai un trait sur notre amitié. — Combien de coups ? — Tu le verras. ...