Solange et Cécile - Chapitre II
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
ff,
fbi,
fplusag,
douche,
amour,
massage,
intermast,
Oral
lavement,
fouetfesse,
init,
initff,
Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
... Rien que tu n’aies déjà reçu par le passé. Allons-y !
Solange se lève et, du martinet aux lanières repliées dans sa main, vient tapoter le canapé en son milieu. Geneviève pousse un gros soupir, se lève, se déchausse et vient s’installer à genoux, Solange la fait courber en sorte d’avoir la tête posée sur ses mains, lui fait plier les jambes pour avoir le derrière en l’air, me fait signe de venir me placer au bout du canapé de façon à avoir la meilleure vue du spectacle qui se prépare ; elle lui rabat sa jupe sur les épaules, baisse la culotte jusqu’aux plis des genoux.
— Cécile, j’envisage huit coups, ou dix, ou douze. Qu’en penses-tu ?
— Rien, Solange, je n’ai rien contre elles, elles m’ont fait connaître une facette de moi-même que j’ignorais. C’est une affaire entre elles et toi. À mon humble avis, le moins de coups sera le mieux.
— Ce sera donc huit coups que tu compteras à haute voix, Geneviève. Et garde bien la position, si tu en changes le coup sera nul.
Elle lève le bras et frappe. Je vois la nappe des lanières s’étaler sur le vaste postérieur blanc, un râle sourd émis par la victime qui compte « un » d’une voix mal assurée, puis les stries roses qui apparaissent lentement. Solange attend environ cinq secondes, puis à nouveau le claquement des lanières sur les fesses de Geneviève qui pousse le même grognement et le derrière qui se colore un peu plus. « Deux » puis « trois » puis « quatre » et la voix qui monte progressivement dans l’aigu tandis que les ...
... fesses rougissent et se strient. Geneviève n’a pas bougé, seulement sursauté à chaque impact. « Sep » et « huit » sont criés et Solange range tranquillement son instrument.
Geneviève s’est allongée et renifle. Je me mets en chasse de son tube de pommade que je finis par découvrir dans la salle de bain. De retour au salon, j’enduis les fesses martyrisée et masse doucement, essayant de faire aussi bien qu’elle lundi dernier sur mon propre fessier, mais je ne vais pas jusqu’à lui caresser l’entrejambe.
— Une dernière chose, Geneviève. Tu seras pardonnée après avoir également obtenu que tes deux complices soient présentes ici même, demain ou vendredi, à 15 heures, ensemble ou séparément, pour la même punition.
Nous rentrons chez nous, cheminant en silence, perdues dans nos pensées. Au salon on se pose confortablement avec un verre d’orangeade, toujours côte-à-côte dans le canapé.
— Et maintenant, tu me dirais ce qui s’est réellement passé lundi ? Je n’ai pour l’instant que la version de Françoise.
— Geneviève m’a proposé de jouer ; les deux autres étaient tout à fait complices ; elles m’ont déculottée sur les genoux de Geneviève et m’ont fessée assez longtemps, du moins ça m’a paru long. Mon derrière me cuisait tellement que j’en pleurais à chaudes larmes. Et puis…
— Et puis ?
— Heu… Geneviève m’a caressé les fesses et la vulve et m’a menée à l’orgasme, qui a été très fort, et enfin m’a passé de la pommade comme je l’ai fait pour elle tout à l’heure.
— S’il te plaît, ...