Promenade au bois (2)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: sagesou, Source: Xstory
... pour attirer les hommes, ils sont plus ou moins comme toi, sauf qu’ils sont plus minces, mais une petite bite toujours prête, un cul en permanence offert, mummm.
— Tu trouves que je suis trop gros ?
— Non, non, j’adore ça, et même si tu grossissais des seins et du cul, tu serais superbe.
— Pas du cul, il est déjà gros et large.
— Non, je ne trouve pas, avance un peu, tourne, bouge, remue tes fesses comme si tu dansais la samba...
Mon côté exhibitionniste prend le dessus et je me trémousse en minaudant, puis j’ai l’idée de dissimuler mon sexe entre mes cuisses et je me retourne face à lui, ses yeux me fixent intensément, il saute de la table, s’approche, caresse mon ventre, mes seins et mon pubis
— Une vraie salope, mummm, viens.
Il dégage ma bite qui se dresse dure et ferme, la caresse un moment, puis se penche, s’appuyant à un tabouret, il me présente son cul immense, il écarte ses fesses des deux mains
— Baise-moi ! Prends-moi, remplis-moi !
Eberlué, je me sentis plutôt comme celui qu’on baise et voilà qu’il veut que je lui fasse.
— Je ne suis pas certain d’y arriver, je ne l’ai jamais fait et puis je ne saurai pas aller loin, je suis trop court...
— Entre ce que tu sais, mais entre et crache tout ton foutre, je veux te sentir dans mon cul
Je m’avance, il plie les genoux pour se mettre à ma hauteur, je glisse dans sa chair, en "aveugle", je sens qu’il oriente son corps et tout à coup, je suis comme aspiré
— Aahhh ! C’est bon tu y es, ...
... vas-y, bouge !
Je fais des petits mouvements, car je me sens au bord quand je recule, puis je pousse comme si je pouvais y entrer tout mon corps. Je continue quelques minutes, je ne l’ai jamais fait, mais ça me plaît, j’ai envie d’exprimer ma virilité
— T’aimes ça alors gros cochon, te faire défoncer par une petite bite
Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, c’est sorti tout seul. Je le tiens par les hanches je crochète dans sa graisse, mes doigts sont poisseux de sa sueur, son odeur s’est répandue dans toute la cabane, je fais des bruits de succion suivis du claquement de mes cuisses sur ses fesses, ça m’excite de plus en plus, soudain je me cale tout au fond et sans plus bouger, je sens les jets de mon sperme sortir, me procurant un orgasme violent. Je manque de le faire tomber tant la pression de mon corps contre lui est forte, je l’entends haleter, lentement, je me retire...
Il se redresse et je constate qu’il a éjaculé, le sol est souillé et des gouttes perlent encore sur son prépuce.
Il s’approche, s’agenouille et entreprend de me nettoyer consciencieusement, les résidus de mon éjaculation mêlés à quelques saveurs de son intérieur.
Quand il a fini, il nous sert à boire, chacun nu et assis sur un tabouret
— Parle-moi de ton ami (e)
— "Elle" avait des petits seins comme toi, je la trouvais trop maigre, mais son petit cul de garçon m’excitait et je la prenais souvent, à l’époque, j’étais plus fringuant, puis un jour elle m’a dit de me tourner ...