Promenade au bois (2)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: sagesou, Source: Xstory
... les sensations ressenties, mais aussi la frustration, rien que d’y penser, j’ai des envies qui reviennent... Je me déshabille et, totalement nu, je me couche sur le lit. Sous le matelas, je planque toujours de quoi me faire plaisir, je me suis fabriqué un petit gode en bois, j’ai pris du bois très dur et je l’ai bien poli pour éviter les échardes et avec la vaseline que je lui mets, il est devenu presque "tendre"... Lui et moi avons souvent de longs échanges qui aboutissent immanquablement à mon éjaculation après sodomie, cette jouissance me plaît davantage que sans le gode.
Cette fois, je jouis dès que je l’introduis, faut dire que j’ai devant les yeux l’image de ma première bite dont je rêve qu’elle remplace mon instrument. Je nettoie rapidement mon matériel et descends pour prendre le repas du soir.
A peine suis-je installé
— Tu vas revoir cet homme alors, il semble avoir fait impression sur toi.
— Il est gentil et puis il aime la nature aussi.
— Oui, mais bon faudra me le présenter au moins, que je sache ce qu’il vaut.
— Je t’assure qu’il est bien, il m’a promis de me raconter ses voyages.
— On verra.
Le lendemain, après un sommeil agité de rêves, je suis le jouet d’un géant barbu qui profite de moi par tous les moyens, je me réveille en sueur, j’ai souillé mon drap. Sur le ventre et les cuisses, j’ai du sperme séché, je passe rapidement à la salle de bain, puis mon petit-déjeuner avalé, je vais au jardin, il fait déjà chaud et je pense aux ...
... sous-bois, il doit y régner une douce fraîcheur... des images me viennent encore...
Je dois faire vite, me secouer, sinon je n’aurai pas fini et maman me retiendra toute l’après-midi.
Vers 13 heures, je rentre trempé de sueur et souillé de poussières, je prends une douche rapide, avale le repas de maman.
— Tu n’as jamais travaillé avec autant d’ardeur mon chéri, décidément je serais heureuse de connaître l’homme qui a le pouvoir de te faire travailler à ce point.
Elle sourit, je souris aussi, puis me lève pour faire la vaisselle
— Non ça ira, va-t’en, file vite, tu en meurs d’envie.
Je l’embrasse sur les deux joues et me voilà parti, il y a plus ou moins ¾ d’heure de marche, avec ce soleil, j’aurai sans doute très soif, j’espère qu’il aura amené du vin et que je puisse récupérer mon appareil.
J’entre dans le bois, la fraîcheur me surprend un peu mais c’est très agréable, en quelques minutes, j’atteins la clairière, il est là, enfin la porte est ouverte et j’entends du bruit.
Dès que mes yeux se sont habitués à la pénombre, j’aperçois sa silhouette, de profil, torse nu, le ventre retombant sur le haut des cuisses...
Au fur et à mesure que mes yeux s’habituent à l’obscurité, je me rends compte qu’il est nu, la table me cache ses jambes, mais je sais maintenant qu’il m’attend.
— Approche, j’ai déjà préparé ton verre.
— Merci, c’est encore du vin ?
— Oui, mais cette fois j’ai pris du blanc et je l’ai refroidi, ça fait du bien.
Il pivote un peu pour ...