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Promenade au bois (2)
Datte: 12/08/2019, Catégories: Gay Auteur: sagesou, Source: Xstory
C’est une invitation, mais j’aurais aimé continuer tout de suite, frustré, je passe d’abord mon t-shirt, puis enfin mon short, il garde mon slip. Je repars un peu triste, mais avec espoir pour le lendemain. Je rentre à la maison et je me rends compte avec stupeur que je vais devoir justifier d’être sans slip, j’essaie de passer directement dans ma chambre, mais maman m’appelle. — Ta promenade s’est bien passée ? — Oui, je suis allé jusqu’à la cabane, il y avait un homme qui débarrassait, il semble que ce soit le propriétaire, nous avons sympathisé. — Tu l’as aidé sans doute, ton short est tout maculé, donne-le que je le passe dans la machine, justement je dois faire la lessive... tiens, tu avais ton appareil pourtant, me semble-t-il... — Heu oui, je l’ai laissé à l’entrée, je vais me changer, je te donne mon pantalon tout de suite. — Pourquoi pas là, je t’ai déjà vu en slip. — Heu c’est que... — Allez, pas tant de manières ! Difficile de résister à maman, même à mon âge, surtout quand elle prend ce ton-là. Je me tourne et espère que mon t-shirt cachera ma nudité, peine perdue, il s’arrête au milieu de mes fesses. Par chance, elle regarde ailleurs, je pose mon vêtement et sors rapidement — Quand tu seras changé, apporte aussi ton slip, il doit être sale aussi. Je file le plus vite possible, cul nu et avec la certitude d’avoir oublié mon appareil à la cabane. Me voilà dans une drôle de situation, d’abord le slip, je vais rapidement visiter ...
... la manne à linge, malheureusement, maman l’a embarquée, je fais alors une chose inouïe, j’en prends un propre, vais uriner à la salle de bain et frotte les quelques gouttes ultimes avec ce petit bout de linge, puis je le passe à terre, sous l’armoire, je réussis à avoir quelques poussières, voilà, ça fera l’affaire. Rhabillé, je l’apporte à maman qui le regarde attentivement — Dis donc on dirait que tu t’es traîné à terre et puis je t’ai toujours dit de t’essuyer avant de le remettre. — J’étais pressé, dans le bois, il y avait des promeneurs. — Bon parle-moi de cet homme. — Pas grand-chose à dire, il m’a proposé de retourner demain, il m’a expliqué qu’il avait voyagé à l’étranger, je ne sais pas où, mais loin, je crois. — Si tu ne sais pas, n’invente pas, continue, comment est-il ? — Vieux, au moins soixante, grand, barbu, des poils partout en abondance... — Ah bon, tu l’as observé si près que ça ? Merde, la gaffe !! — Heu non, il avait ôté sa chemise, il a un gros ventre, plus gros que le mien en tout cas, qui déborde sur sa ceinture. — Il est gentil au moins ? — Oui, il m’a offert à boire, j’avais soif, j’ai bu un grand verre... — Oui ?? — Heu... un grand verre d’eau. — C’est demain après-midi que tu le vois ? Parce que demain matin je veux que tu t’occupes un peu du jardin, compris ? — Oui maman Heureux de m’en tirer à si bon compte, je monte dans ma chambre 4 à 4, maman sait que j’aime m’isoler. La conversation m’a rappelé ...