1. Robe noire, chaussures rouges


    Datte: 09/03/2018, Catégories: fh, inconnu, caférestau, Oral pénétratio, coupfoudr, occasion, Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe

    ... mien et, d’un geste lent, se met à descendre la fermeture éclair de sa jupe. Celle-ci glisse au sol avec un léger froissement. D’un geste du pied, elle s’en débarrasse. La voici maintenant vêtue d’escarpins rouges, de bas noirs et d’un chemisier. Elle n’a aucun sous-vêtement. Je ne vois pas bien à cause des bas, mais je devine son sexe presque complètement épilé. Il y a juste un peu de « garniture » au-dessus. La scène offerte est frugale.
    
    Comme je ne dis rien, elle continue son effeuillage. Le chemisier est enlevé, posément. Et va rejoindre la jupe au sol.
    
    — Retourne-toi maintenant, et écarte légèrement les jambes.
    
    Elle s’exécute, en prenant soin de tendre ses fesses vers moi. Ma queue est véritablement distendue. Elle me fait presque mal. Je me couche sur le lit. Je ne me lasse pas de ce spectacle. Après quelque temps, je lui demande :
    
    — Viens par ici. Et arrêtons ce petit jeu de soumission. Fais ce qu’il te plaira de moi.
    
    Elle se retourne, lascive, et s’avance vers moi. Toujours les yeux arrimés aux miens. Toujours ce sourire. Marie monte sur le lit et approche la tête de mon bas-ventre. Chaque centimètre carré de mon phallus est léché. C’est une formidable fellation qu’elle me prodigue là. Mais je suis obligé d’y mettre fin rapidement. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.
    
    Je lui attrape le menton pour la redresser. Je la couche sur le dos. Doucement, je fais glisser mes doigts sur le nylon des bas depuis le creux d’un genou. Ils remontent sur ...
    ... l’intérieur des cuisses, partie ô combien sensible chez à peu près toutes les femmes ! Je frôle à peine son entrejambe et je m’attaque à l’autre cuisse. Le contact du nylon m’électrise autant que Marie. Je la vois se tordre de plaisir.
    
    Je reporte mon attention sur son entrejambe et vois qu’elle n’a pas pu s’empêcher d’approcher ses doigts. Je les regarde faire. Ils cherchent, à travers les mailles, le clitoris. Il est trop rapidement trouvé. Je la vois dessiner des cercles tout autour, puis le presser, le pincer. Son liquide se prend dans le treillis synthétique. L’autre main s’occupe de ses seins. Elle les presse, les pince, les tire, les pétrit. Et cela a l’air de lui faire un bien fou. J’avance ma bouche et donne quelques petits coups de langue sur toute la longueur des grandes lèvres. Cette odeur, oubliée depuis longtemps, est tellement enivrante.
    
    Marie commence à crier, de plus en plus fort. Rugissement rauque.
    
    Délivrance extatique.
    
    Orgasme intense.
    
    Corps contracté à l’extrême, sa tête est tendue en arrière.
    
    Après quelques secondes de secousses, je la sens se relâcher peu à peu. Je la laisse tranquille.
    
    Une fois calmée, elle fait descendre les collants jusqu’au milieu des cuisses et se met à quatre pattes. La levrette.
    
    — Viens, me dit-elle, prends-moi.
    
    Je me place derrière elle. Je guide mon sexe vers l’entrée de sa grotte trempée. Une lente poussée me permet de la pénétrer profondément. Je me retire avec la même lenteur pour reprendre aussitôt ...