1. Des cours de rattrapage


    Datte: 10/08/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... Elle sourit. Mutine, elle me souffla qu’elle pourrait me présenter plein de personnes de mon âge.
    
    A ce moment elle croisât haut ses cuisses accentuant le battement d'un de ses pieds au bout duquel chancelait une mule toute prête à choir. Un silence s'installa entre nous et mon regard dut alors paraître hypnotisé par la fébrilité de la mule. Je n'eus pas conscience de l’inconséquence du geste ou de mon comportement. Sa voix soudain me tira de ma rêverie redoutable. « Je te plais ? » Je ne m’attendais pas à cela. Je balbutiais baissant les yeux. « Trouves-tu ma question inconvenante ? » J’étais assiégé par la panique et cherchais mes mots.
    
    Relevant la tête, je vis qu’elle avait un regard empli de quelque chose de trouble et de l’ordre du désir. Elle poursuivit : « T'es bien bâtie. Tu fais plus que ton âge. Fais-tu du sport ? » Je lui répondis qu'un temps j’avais fait un peu de foot. Nantie du même sourire, elle fit alors le geste que je vienne m’asseoir près d’elle. Elle trônait radieuse sur son divan. A la façon d'un somnambule mon corps se souleva pour me porter près d'elle. Son corps était chaud et saturé d'un lourd parfum. Il ne s’agissait plus de rêves mais de la réalité.
    
    Elle passa une main dans mes cheveux. Peu après nos lèvres se collèrent. Nos langues forcèrent le passage pour s'entremêler. Je retrouvais les anciens gestes de l'été. Ma main parcourut la chair infinie des cuisses flirtant avec la matière lisse de sa ...
    ... culotte. J'y percevais une chatte chaude et humide. Elle se laissa peloter avec une rare complaisance. Soudain prise de frénésie elle jeta loin sa mule s'agenouillant. Je fus immanquablement sucé. D'un rire mutin elle clama : »O la belle bite ! » Je ne fus pas peu étonné de sa bouche avide et de sa gourmandise impérieuse.
    
    Avec la même audace elle me prit la main m'entraînant dans la proche chambre d'amis. Je songeais que son fils eût pu revenir d'un moment à l'autre ou que l'une des voisines sonnât. Elle n'en avait cure. Nous baisâmes une heure durant. Je n'avais rien perdu de ce que j'avais appris depuis peu. En néophyte je voulus lui montrer qu’elle ne perdait pas au change. J’étais un homme et j’allais la prendre et la baiser comme il faut. Nous nous retrouvâmes haletants et heureux à contempler le plafond. Nous sortions tous deux vainqueurs de ce combat.
    
    Mi-sérieuse, elle me souffla : « Tu t'es débrouillé comme un chef. » Il fut convenu que je viendrais à certaines heures. Nous fûmes amants durant un an. J'eus du mal à combattre ma jalousie. Elle avait d'indéniables besoins sexuels que je ne pouvais à moi seul assouvir. Son époux ne la touchait plus. Elle me concéda avoir d'autres amants. Elle n’en voulut dire davantage ce qui augurait qu'ils pouvaient être nombreux. Ce fut le seul nuage dans notre ciel bleu. C'est elle qui avec tact me convainquit d'arrêter notre relation. J’avais grandi entre ses bras. Aussi acceptais-je. 
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