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Des cours de rattrapage
Datte: 10/08/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... singer un bobo pour être remplacé. Il sembla qu’elle prévint ma tentation car elle vint me chercher d'autorité devant ma mère me tirant par le bras et s'écriant : « Allez mon gars : « J'ai besoin de tes bras. Je suis pressée. J'ai d'autres courses pour plus tard. » Ma mère rigola n'y voyant pas à redire d'autant qu’elle se réjouissait que son amie directive secoua un peu son grand fils et dadais. Il y eût un silence entre nous le premier kilomètre puis elle rangea la voiture au fond d'un chemin. Avec le plus grand sérieux elle demanda si elle me faisait peur. Sans la regarder et dodelinant de la tête je lui signifiais : non. A ce moment sa main vint à caresser l'endroit du bermuda où pouvait affleurer bientôt la bosse caractéristique. En un tournemain elle extirpa mon sexe commençant à le branler. J’eus droit ensuite à la première pipe de ma vie. Une révélation que j’évoque ici avec une profonde et sincère nostalgie. Nous nous dévorâmes la bouche. J'étais conquis. Mes dernières préventions s'envolèrent. Enhardi je lui caressais les cuisses et les seins. Elle affectait en riant de me repousser. « Petit cochon. Tu apprends bien trop vite ! » Dans l'herbe au pied de la voiture sur une serviette hâtivement jetée elle me donna mon premier cours où entre ses cuisses je pus la besogner et accéder au saint des Saints. Le premier essai malhabile, je pus me ratt****r par la suite. Elle m'initia notamment à la prise en levrette qu’elle adorait. Plus tard je fus impressionné de ...
... devoir « l'enculer » pour reprendre son terme ce qui en sa bouche détonnait. Un jour elle me jeta en riant : « Tu peux me dire. Je n'en serais pas choquée car je le revendique : Je suis une fieffée salope. « Je fus subjugué par cette femme au point d'en tomber amoureux. En effet je lui fis une scène un matin après lui avoir fait admettre qu'un gars la veille l'avait pu culbuter derrière un rocher. Elle expliqua avec raison et d'un ton sentencieux qu’elle était une femme libre et qu'un morveux comme moi ne pouvait disposer de son cul. J’apprenais cruellement. Le métier rentrait. Mon instinct me disait de jouir au plus vite d'une telle opportunité . Je fus triste de devoir la quitter. Elle habitait à vingt kilomètres de chez moi et elle consentait presque par charité de venir me chercher parfois en voiture pour aller baiser dans les bois. Elle avait depuis conquis d'autres jeunots et dépucelé à tour de bras. Je compris qu'il me fallait voler de mes propres ailes. J’avais à cet égard gagné en assurance. Les filles de mon âge me paraissaient insipides. J'avais mordu à la chair. J'y décelais comme un aspect de vice et de débauche. Le sexe plus que l'amour m’attirait. En ma classe il y avait un gars admiratif de moi. Sachant mon fort besoin de sous et que je prodiguais un peu partout des cours de maths, il trouva bon que je vienne sous son toit dispenser un peu de mon savoir. Je ne lui trouvais pas tant de lacunes. Il n'en sut pas moins convaincre son père notable et plein ...