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Des cours de rattrapage
Datte: 10/08/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Je n'y ai cru au début. A cet âge on est rempli d'une foule de fantasmes. On apprend à ses dépens que peu se réalisent. J'avais pris pas mal de râteaux avec les filles. Je n'osais regarder alors vers les autres et vraies femmes. Devant l'effronterie de certaines le jeune homme que j'étais baissait les yeux. J'étais envahi d'une timidité irrépressible trop fasciné par ces garces. Les ans passant je prenais davantage de poids et m’attirais des fois le compliment de joli garçon au point que j'eus un rapport un été avec une femme, une vraie. C'était une amie de ma mère. Je me suis bien gardé d'en parler à quiconque. J'ai assuré à celle-ci de garder le secret. Je n’avais aucun intérêt au scandale et m'en glorifier n'était pas dans mon tempérament. Cela dura trois semaines. En cours accéléré j'appris maintes choses. J'y découvris notamment les sortilèges de la fellation. C'était autrement plus excitant que de se masturber dans son coin. Chaque jour nous prenions le prétexte d’aller tous deux faire les courses en ville pour toute la maisonnée. Au bout d'un kilomètre j'avais la queue sucée et branlée. Cette femme quinqua ne me cacha pas par la suite sa prédilection pour les jeunes mâles voire les puceaux. Loin de concevoir cette opération comme une corvée, elle se flattait d'en avoir déniaisée une cohorte dont certains lui témoignaient encore les années passées une reconnaissance. A cette professeure de français, mariée et mère de trois enfants on eût pourtant donné le bon ...
... Dieu sans confession. Point si jolie et avec un air revêche elle n’avait pas assez de mots durs pour les filles faciles et les mauvais garçons. Elle jouait ce rôle à la perfection. Elle avait cependant un corps remarquable avec de belles jambes et que louait son mari. Celui-ci au contraire de sa femme affectait d'aimer les plaisirs de la table et du lit. L'épouse s'en offusquait imitant bien la prude. Tout le monde se réjouissait de ce petit jeu entre eux dont je n'étais pas moins dupe que les autres. Un soir pourtant j'eus la preuve de la perfidie et dissimulation de cette femme. La Sangria aidant, elle s'installa en face à peu de mètres de moi et écartant ses cuisses, elle me laissa le loisir de détailler sa culotte claire et transparente. Tout le monde chahutait autour. Les regards et sourires qu’elle m'adressait à la dérobée ne me laissèrent pas avoir de doute d'autant que s'absentant un temps elle revint et me fit assez voir qu'elle n'avait plus de culotte. Je découvris en grand sa chatte. Elle me signifiait ainsi son désir. J'eus aussitôt un durcissement de mon sexe. Depuis deux jours nous faisions les courses le matin. Il me revint certains de ses propos et allusions. Notamment elle m’avait demandé si j’avais une amie. Cette salope ainsi m'avait testé et avait tâté le terrain. Heureusement il y eût un terme rapide à la soirée. Je songeais à elle sous le drap et me branlais. Je n'en appréhendais pas moins d’être seul le lendemain avec elle. Je fus même tenté de ...