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Stéphanie
Datte: 10/08/2019, Catégories: jeunes, bizarre, cinéma, amour, cérébral, Oral nopéné, Auteur: Bernard, Source: Revebebe
... tête dessus pour me réveiller. — Oh… Arrêtez ! Vous êtes fou ? — Tu existes vraiment ? dis-je en m’approchant d’elle et touchant sa poitrine qui est prête à sortir de son chemisier de luxe. — Oh, mon Dieu… Tu n’as pas mal ? dit-elle en me caressant le front là où ma tête a cogné le mur. — Non… Non, ça va. Mais j’ai du mal à croire ce qui m’arrive. Pour bien me prouver que tout est réel, Stéphanie m’embrasse à nouveau et me caresse la braguette. Bien sûr, mon sexe réagit et gonfle rapidement. — Je ne vous ai pas dit que j’aimais beaucoup votre sexe ; ni trop petit ni trop gros : juste comme je les aime ! dit-elle en relâchant ma bouche mais pas mon sexe. — Ah… Elle me retire mon tee-shirt et détache mon jeans. Je me retrouve en slip, jeans sur les chevilles, à la regarder comme un ado à sa première nuit d’amour. — Venez donc me déshabiller avec vos grandes mains ! dit-elle avec un regard pervers qui finit mon érection totale. — Je… Hummm ! Je retire mes pieds de mon jeans et laisse aussi mes vieilles baskets. Je la pousse lentement et en douceur vers le lit et retire sa veste de tailleur, son chemisier et son soutien-gorge, qui sert plus de décoration que de soutien tant sa poitrine est ferme. Nos bouches se scellent au moment de retirer sa jupe de tailleur qui lui tombe sur les chevilles. Elle a pris mon sexe et l’a ...
... fait sortir de mon slip. Elle porte un shorty en dentelle assorti à son soutien-gorge ; ma main caresse son ventre plat et légèrement musclé. Je pense de suite qu’elle doit faire du fitness pour avoir un aussi beau ventre. Elle se laisse tomber sur le bord du lit, et avant que je ne puisse faire un geste, elle ouvre la bouche et s’enfonce sur ma queue tendue au maximum. Sans doute mon sexe a-t-il déjà oublié le cinéma et est à nouveau prêt pour le service. Je sens de suite sa langue recommencer ce qu’elle m’avait prodigué au ciné, et je mets mes mains sur mes hanches et pousse mon ventre en avant. Elle sait faire monter très vite ma jouissance ; mais cette fois, je l’ai repoussée sur le lit et grimpé dessus. Ma main cherche à écarter ses cuisses et faire descendre son shorty. — À votre place, j’attendrais encore un peu… — Oh non, ma belle ! Tu y passes maintenant, je ne tiens plus ! — Comme vous voulez ! dit-elle toujours aussi calmement. Je parviens à tirer, vers le bas, le devant de son shorty et elle écarte ses cuisses. Je passe mes doigts sur sa vulve et rencontre une saucisse molle. Je me redresse et regarde ce corps aussi parfait qu’un homme peut espérer d’une femme, et vois entre ses jambes un petit sexe tout mou. — Tu… Tu es… Vous êtes un homme ? m’écrié-je, offusqué et surpris. (La suite à votre bon plaisir.)