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Stéphanie
Datte: 10/08/2019, Catégories: jeunes, bizarre, cinéma, amour, cérébral, Oral nopéné, Auteur: Bernard, Source: Revebebe
... puberté. Jamais autant de sperme n’est sorti de mon sexe en même temps. J’ai la main qui dégouline et je sens mon sexe mou émettre encore des volutes de sperme qui s’écoulent sur le sol de la salle. — Com… comment t’as fait ça ? C’est impossible à croire ! — C’est mon petit secret ! Vous voulez encore une praline ? demande-t-elle de façon moqueuse. — Je… Euh, oui ! Mais sans le baiser, je suis KO ! — Déjà ? Vous me semblez pourtant plein de vie et de sex-appeal. — Vous… Tu m’as tué ! dis-je dans un souffle. Elle sort une praline commençant à fondre et me la met sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et c’est elle qui colle sa bouche à la mienne. Je me laisse une fois de plus explorer la cavité buccale et je réponds faiblement à son baiser. Je ne peux croire qu’elle m’ait tué en me faisant juste jouir, et pourtant je n’ai même pas la force de lui caresser son énorme poitrine ou même de caresser ses cuisses. Le baiser terminé, la praline fondue et avalée, elle se rassied convenablement et se penche vers moi tout en regardant l’écran. — Cela vous a vraiment plu ? — Oh, oui ! dis-je directement et sincèrement. — Le film ne me plaît pas trop. Vous venez boire un verre chez moi ? — Oh oui ! Deux fois oui ! On se lève et je regarde les dégâts que j’ai faits avec mon sperme, mais il fait trop sombre pour voir vraiment. Nous quittons le cinéma et elle me tient par la main comme un couple. Elle se dirige vers un gros 4x4 allemand et m’ouvre la porte passager. Le confort ...
... est inouï. Le silence qui y règne permet même de chuchoter sans devoir répéter sa phrase. C’est devant une grosse villa, 4 façades et jardin boisé tout autour, qu’elle m’entraîne en arrêtant son 4x4 devant une porte de garage pouvant laisser entrer deux grosses voitures de front. Nous entrons dans une villa luxueuse et, sans perdre de temps, elle m’entraîne à l’étage. Je sens dans ma poche le billet de 100 euros qu’elle m’a donné au cinéma et je le sors pour le lui tendre lorsqu’elle ouvre la porte de sa chambre. J’en reste le bras tendu et la bouche en cul de poule. Un lit rond et immense est au milieu de la pièce. Toute la décoration est faite de tissus légers et transparents. Le blanc et le rose dominent dans les couleurs. Stéphanie me regarde avec des yeux brillants et interrogateurs ! Elle ne daigne même pas regarder ma main qui tend le billet. — Vous aimez ? — C’est… Euh… comment dire… spécial ! — Vous êtes le premier garçon à venir ici ! — Ah ! dis-je étonné et le bras toujours tendu avec le billet de 100 euros. — Gardez-le ; j’en ai trop ! me dit-elle d’un ton naturel sans faire la fanfaronne sur une éventuelle fortune. — Je… euh… Merci ! — Venez, déshabillez-vous ! J’ai très envie de vous ! « Cette fois c’est certain, je vais me réveiller. C’est trop. Une bombe riche comme Crésus m’invite chez elle dans une luxueuse villa et me dit avoir envie de moi. Non, je ne crois pas à ça ! » Je me retourne vers le mur décoré de tissus vaporeux et me tape la ...