Le plaisir à l'école
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
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Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... Certaines sont plus curieuses. La curiosité n’est pas un vilain défaut. Elle peut être très bénéfique. Encore faut-il être préparée à ce que l’on pourrait découvrir. La première année vise à cet objectif. Vous préparer à la deuxième. Tu es parfaitement libre de suivre ton propre chemin. Néanmoins, fais attention à ne pas sauter les étapes. Il faut souvent aller plus loin que ce que l’on aurait pensé pouvoir faire, mais pas au point de dépasser ses limites. Savoir ce que l’on veut ou pas, ce que l’on aime ou pas, ce qu’on est prêt à faire ou pas, voilà ce que tu apprendras ici cette année. Ne te brûle pas les ailes.
Qu’est-ce que-je peux répondre à ça ?
— Je suis désolée : ça ressemble un peu à un sermon, mais ce n’en est pas un. Sens-toi libre d’apprendre à ton rythme, mais ne t’embarque pas ou ne te laisse pas embarquer dans n’importe quoi. Message reçu ?
— Cinq sur cinq, Madame.
— Sonia ! Qu’est-ce que vous avez toutes en ce moment ?
— Désolée, Sonia.
— Au fait, as-tu choisi ton diplôme pour cette année ?
— Je fais ça ce soir, sans faute.
— Bien.
Nous ressortons. Sonia me raccompagne. Alors que nous traversons le couloir, la sonnette du secrétariat retentit une fois, deux fois, trois fois.
— Cindy, vous êtes là ?
Elle est assise à son bureau, légèrement tremblotante, les joues encore plus rouges que tout à l’heure.
— Cindy ?
Elle se redresse précipitamment.
— Excusez-moi.
— Vous n’ouvrez pas ?
— Si, bien sûr.
Cindy va ouvrir la porte à ...
... une étudiante, un peu surprise de voir finalement quelqu’un dans le bureau.
— Bien. Au revoir, Ève ; bonne soirée.
— Merci, bonne soirée.
— Bonjour Astrid. Par ici ; c’est à toi.
Astrid suit sagement Sonia.
Cindy se rapproche de moi, encore un peu plus que tout à l’heure. Le téléphone se met à sonner. Ses jambes tremblent, j’ai l’impression qu’elle va s’évanouir.
— Hé, ça va ?
— Oui, oui.
— Ça n’a pas l’air.
Sa voix est hésitante.
— Vous voulez que j’appelle quelqu’un ?
— Non ! Non ! Ça va aller.
Elle est plus impérative cette fois. Je la raccompagne à son bureau.
— Vous voulez que je décroche ?
— Non merci, ça va beaucoup mieux ; vous pouvez y aller.
— Vous êtes sûre ?
— Parfaitement.
Avant de franchir la porte, je lance un dernier regard. Le téléphone sonne toujours, elle est écarlate.
J’ai mis la pédale douce, mais mes journées sont d’autant plus calmes que mes nuits sont agitées.
L’histoire de Sophie a ravivé mon envie de connaître l’identité de mon baiseur du premier soir. Mais l’entretien avec la directrice m’a ôté toute envie d’élaborer une nouvelle stratégie.
Estelle n’est pas plus apaisée que moi et se réveille en pleine nuit, depuis plusieurs jours. De lointaines vibrations m’ont fait suspecter l’usage d’un vibromasseur. Ma main s’égare parfois sur mon entrejambe quand je l’entends, mais je m’évapore assez vite entre rêve et plaisir.
Ce matin, c’est cours de philo érotique. Fines lunettes noires, un peu sérieuse, madame ...