1. Le plaisir à l'école


    Datte: 09/08/2019, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... donner la fessée.
    — Quoi ?
    
    L’espace d’un instant j’y ai cru, avec son air sérieux.
    
    — Si tu voyais ta tête… Détends-toi.
    — Tu crois qu’elle peut me renvoyer ?
    — Hein ? C’est à ça que tu penses ?
    — Ben, un peu, oui.
    — Et pourquoi elle ferait ça ? Je ne sais même pas si ça s’est déjà fait ici.
    — J’ai pas du tout assuré en cours aujourd’hui.
    — Et alors ? Tu gères super bien dans certaines matières. De toute façon, on est dans une école. Si on savait tout avant d’arriver ici, pourquoi suivre l’enseignement ?
    — T’as raison ; c’est toi qui as raison.
    — Toujours !
    — Mais pourquoi elle veut me voir, à ton avis ?
    — Je te dis, pour te coller une bonne fessée.
    
    Elle fait mine de se donner une claque sur les fesses.
    
    — En parlant de fesses, tu ne m’as toujours pas raconté d’où te vient ce goût prononcé pour les rapports…
    — La sodomie ?
    — Oui, voilà…
    — Je te peins le contexte : mon copain de l’époque devait s’absenter assez régulièrement pour suivre une partie de ses cours dans une autre ville. On n’était pas ensemble depuis très longtemps et les séparations nous paraissaient une éternité. Du coup, pour la Saint Valentin, je lui ai fait la surprise de le rejoindre en milieu de semaine à son hôtel. J’avais prévu le grand jeu. Je suis arrivée en milieu d’après-midi. J’ai demandé sa chambre au maître d’hôtel et je me suis préparée. Porte-jarretelles, bas résille, chaussures à talons hauts et… c’est tout.
    — Genre chaud, chaud…
    — Je ne crois pas que l’effet aurait ...
    ... été le même en pyjama polaire.
    — C’est un fait.
    — Je me suis placée face à la porte, assise sur le lit, jambes bien écartées, les mains posées sur le lit pour mettre en avant mon buste.
    — Il n’a pas dû avoir de mal à comprendre le message.
    — Je l’ai attendu. Dix-neuf heures, 20 heures, 21 heures, 22 heures… J’ai fini par m’endormir sur le lit. Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir. Ses caresses m’ont tirée de mon sommeil. Mes fesses, un peu plus bas… J’ai voulu me retourner, mais d’une légère pression sur mon dos il m’a fait comprendre que je pouvais rester allongée sur le ventre. Ce qui m’allait très bien, j’étais encore un peu assoupie. Il savait y faire. Mon minou se délectait de ses attentions. Quand il m’a sentie prête, il s’est caressé sur mes lèvres, titillant mon clito avec insistance. La torture devait prendre fin, il commençait à entrer en moi. Mais ses petits va-et-vient ne me satisfaisaient pas, mon excitation et ma frustration montaient de plus en plus haut.
    — C’est bien un truc de mec, ça. Ils veulent te la mettre n’importe où n’importe quand. Mais quand tu n’as qu’une envie, qu’ils te pénètrent, ils te font languir.
    — J’ai senti son doigt s’appuyer sur mon petit trou et tenter de s’enfoncer un peu. Mais mon attention se portait ailleurs : son sexe osait s’aventurer un peu plus loin et mon petit cochon semblait sacrément excité. Son engin me paraissait énorme. Quand il s’est retiré et a commencé à se faire plus insistant sur mon cul, là, ça m’a profondément ...
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