-
Mauricette aime la quéquette 3 (1)
Datte: 08/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory
... de liquide blanchâtre, dernière trace de son orgasme, coula entre ses fesses, douces et luisantes de sueur. — Mais c’est sale, mon garçon. Me fit-elle, alors que j’étais en train de humer le parfum piquant de son cul. Toujours au comble de l’excitation, je ne pouvais résister à la tentation de lui embrasser frénétiquement les fesses, avant de titiller son anus avec ma langue. Son muscle anal était complètement relâché. J’y pouvais m’y introduire sans peine. À ma grande satisfaction, elle semblait aimer cela. Au point de jouer avec. Le contracta et relâcha successivement son muscle anal. Ma langue était donc tour à tour happée dans le petit trou, puis expulsée, avant d’être de nouveau avalée. Ce petit jeu dura de longs moments. Avant que je décide de la remplacer par ma queue. Quelle sensation étrange, vertigineuse, c’était de voir engloutir ma queue dans le cul de ma patronne. Et surtout... Oui surtout, de sentir la chair céder, s’écarter avec une infâme connivence. Je poussais plus fort. Engloutissant d’un coup toute ma queue, alors qu‘elle grogna comme une bête blessée. Je me retirais, pour mieux la lui remettre. Je la sentais trembler d’une affreuse extase. Je recommençais de plus en plus vite. Chaque fois que j’enfonçais ma queue, elle poussait une étrange plainte. Elle émit même une sorte de plainte étouffée. J’accélérai de plus en plus vite mon entrée et ma sortie dans ses entrailles. Mon bas ventre frappant le sien avec un petit de claque. Brusquement elle cambra davantage et lâcha un feulement rauque. Je donnais encore quelques coups de reins et avec un grognement sourd, me laissais aller à la jouissance tout en maintenant difficilement contre moi ma patronne dont le corps se tordait dans des sursauts spasmodiques. Nous étions restés quelques instants allongés sur le lit. Le temps de reprendre notre souffle. Elle avait ensuite insisté pour que je partage son dîner. Mais j’avais décliné l’offre. Lui justifiant un besoin d’aller me reposer.