1. Mauricette aime la quéquette 3 (1)


    Datte: 08/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    Je regardais distraitement les personnages qui s’agitaient sur l’écran de la télévision. Pas très intéressé par ce qui s’y déroulait. Il était un peu plus de dix-sept heures quand je perçus un coup de klaxon provenant du côté du portail. Je regardais par la fenêtre et aperçus la voiture de madame. J’enclenchais le système d’ouverture des grilles. J’attendais qu’elle pénètre le domaine pour refermer.
    
    Ceci fait, je pris les clefs sur le clou et allais au-devant de madame. Elle me reçut avec un sourire comme à son habitude. Elle attendait que j’arrive à la hauteur de sa portière pour l’ouvrir. Pour s’extraire de l’habitacle de sa luxueuse voiture, elle ouvrit le compas de ses jambes. Je n’avais pas pu m’empêcher de jeter un œil dans l’ombre de sa jupe, et y aperçus une merveilleuse culotte à volants, mais aussi des bas couleur chair. Après lui avoir serré chaleureusement la main, je me déplaçais jusqu’au cul de la voiture et ouvris le coffre. Où se tenaient deux valises que je pris la peine de monter directement dans la chambre. J’en profitais pour m’examiner.
    
    Dans le miroir fixait sur le mur. Une légère transpiration lissait mon front. C’était évidemment sans doute dû à la tension nerveuse qui m’habitait à l‘approche de mon rendez-vous avec la voisine.
    
    Madame m’attendait dans la cuisine buvant un verre d’eau. Elle me jeta un drôle de regard. Bien que je la sentisse tout de même bien détendue. Elle qui tenait à la perfection son rôle d’épouse d’homme d’affaires. ...
    ... Sachant très bien recevoir. Elle était rousse pas vilaine du tout. Avec des yeux de vicieuses. Toujours bien coiffé. Avec un nez coquin. Je restais là muet tout en la contemplant, attendant d’autres instructions. Elle étouffa un bâillement sonore, et posa le verre dans l‘évier.
    
    — Si nous passions dans le salon.
    
    Chaque rendez-vous débutait par une discussion sur le déroulement de la semaine pendant leur absence. C’était un moment privilégié entre patron et employé. Une mise au point du travail effectué.
    
    Elle s’effaça pour me laisser fouler le tapis de la salle de séjour adjacente à la cuisine, et prit la peine de me précéder le long de l’immense couloir un peu sombre à mon goût, qui nous menait jusqu’au salon, dont les larges portes-fenêtres offraient une vue imprenable sur une parcelle gazonnée. La pièce était la plus grande de la bâtisse. Hormis de nombreux meubles, qui en occupaient une bonne surface, se tenaient aussi deux canapés de cuir blanc et trois fauteuils de la même matière qui entouraient une grande télévision.
    
    Elle me permit de m’asseoir en me désignant le canapé. Elle se posa à mes côtés en émettant un petit rire bref. Nos genoux se touchaient presque.
    
    — Alors quoi de neuf, questionna-t-elle.
    
    Elle croisa les jambes machinalement sans paraître remarquer que son mouvement offrait une vue imprenable sur sa cuisse droite. Elle repoussa mécaniquement la mèche de cheveux qui balayait son front. Je la regardais droit dans les yeux. Je lui fis le topo du ...
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