1. Mauricette aime la quéquette 3 (1)


    Datte: 08/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: RENIFLEUR61, Source: Xstory

    ... trompe mon mari pour la première fois. Que si je prends du plaisir avec un autre homme, je serais capable ensuite de me résoudre à ce que j’aurai dû faire depuis longtemps. Prendre un amant.
    
    Elle s’écarta légèrement de moi et me regarda. Je lus dans ses yeux un saisissant mélange de profonde tristesse et d’espoir fou.
    
    — Alain, murmura-t-elle en se soutenant mon regard. On se connait depuis combien de temps ?
    
    — Je suis à votre service depuis six ans, madame.
    
    — Et le salaire vous convient ?
    
    — J’n’ai pas trop à me plaindre. Même si je ne serais pas contre une augmentation.
    
    — Combien ? Me demanda-t-elle.
    
    — Je ne sais pas moi... Cent euros...
    
    — Je vous donne trois euros de plus par mois et vous en échange vous devenez mon amant. Cela vous va ?
    
    — Vous me prenez au dépourvu là... Madame...
    
    — Dès lundi vous l’avez votre augmentation. Voulez maintenant bien me faire l’amour ? Me redonner gout à la vie.
    
    Je restais un moment silencieux. Accusant le coup. Ce n’était pas peut-être très orthodoxe comme situation. Une lueur sale s’alluma dans ses yeux. Ce fut elle qui presque timidement avança ses lèvres à la rencontre des miennes. C’était tout de même un instant très agréable, que j’avais envie de prolonger. Pris au jeu de cette divagation des sens, je me laissais aller au mâle plaisir de posséder ma patronne et de devenir son amant. L’effet Cialis faisait déjà des siennes.
    
    Et cela n’échappa pas à la vue de madame. Qui fixait d’un œil intéressé la ...
    ... bosse qui déformait mon pantalon.
    
    — Si je m’attendais à ça... Souffla-t-elle comme si elle se parlait à elle-même. Capable de faire bander un jeune homme.
    
    Un silence épais s’installa. Elle était dans l’expectative. Je sentais qu’il allait se passer quelque chose de plus fort et j’en ressentais une frustration indicible. Elle tripotait nerveusement ses mains. Les minutes s’étalaient interminablement. Elle ne bougeait pas, faisait comme s’il je n’existais plus. Mais imperceptiblement, sa main se détacha de sa jumelle et se détendit jusqu’à moi. Elle effleura mon pantalon. Caressa le tissu du bout d’un doigt sans avoir l’air d’y toucher, puis dériva à tâtons vers mon entrejambe. Ce qui lui arrachait un petit sourire de contentement.
    
    Je retenais ma respiration. Très lentement, elle fit baisser la fermeture éclair, et incrusta sa main dans mon slip. Je sentais ses doigts cajoler ma bite gonflée. Avec dextérité elle me prit à pleine main.
    
    — Vous bandez très fort, mon cher Alain, chuchota-t-elle, admirative. Et ça pour moi ?
    
    — Oui madame, pour vous...
    
    J’avais maintenant envie de faire l’amour. Dans cette chambre et sur-le-champ. Je lus sur son visage le trouble s’accroître. Elle, la bourgeoise qui avait caché jusqu’à présent son amoralité foncière sous le vernis de sa bienveillance. Elle, qui me fixait dans l’instant, d’un regard plus brillant. Un tel clin d’œil du sort était un présage et ne pouvait se refuser. J’en oubliais même Mauricette. Je voulais lui offrir des ...
«1...3456»