Lucie in the sky
Datte: 08/08/2019,
Catégories:
fhhh,
hbi,
inconnu,
copains,
boitenuit,
noculotte,
Oral
fgode,
hsodo,
champagne,
exercice,
occasion,
Auteur: Bordaldea, Source: Revebebe
... pétries de part en part, son corps tendu comme un cri strident, happée par mille doigts inquisiteurs, Vickie ne s’appartenait plus : saccades et staccato ses hanches menant à corps perdu son sexe à la rencontre de mes mains, sur la banquette des culs des seins des bouches une explosion sans queue ni tête.
J’avisai la bouteille. Son con ruissela de champagne. Juste le temps de colmater la brèche : le long gémissement de Vickie à la morsure froide du goulot contre ses lèvres, entre ses lèvres, au beau milieu de ses lèvres, glissant maintenant à l’intérieur de sa chatte, se laissant happer dans ses profondeurs. L’intruse au tiers avalée, froidement verte entre ses cuisses blondes. Alors des deux mains, secouant la bouteille. Qu’elle la sente bien. Presque plus froide, déjà elle l’a réchauffée. La retirant un peu, qu’elle ne s’habitue pas trop à sa présence. Mais qu’elle la sente. Pleine matière brute, pleine et dure, impossible à soumettre ni à épuiser. Elle crie. Je le vois dans ses yeux. Elle crie. Je n’entends rien que la plainte de ses yeux embués. Je n’écoute que mes mains sur la bouteille : plus fort ! plus loin ! Encore ! Encore un peu. Un dernier effort. Mon imagination voit pour moi. Le sexe dilaté, la peau qui se tend qui ne sait pas si elle pourra encore, mais elle peut. Elle, crucifiée, cuisses ouvertes, soumise à mon bon plaisir. Plaisir ? Délire ? Je ne sais plus. J’ai des lucioles plein les yeux : sarabandes de flashs. Seins. Ballottement spasmodique des seins. ...
... Fermes, mais pris dans la gigue infernale qui secoue tout son corps. Bouche. Ouverte toute grande. Les lèvres n’y dessinent plus de sourire. Le son est coupé. Les mains, les bras. Les mains au bout des bras lacèrent en vain l’air moite et étouffant. Les doigts. Nerveux, quand ils s’arriment à la naissance des cheveux. Comme elle est belle, les mains dans ses cheveux. Baudelaire. Les yeux pleins de lucioles, j’ai des lubies plein la tête : ce soir, Moule au champagne ! La bouteille que j’arrache de son antre. Sous la violence de l’élan, ma lèvre explose contre son pubis. Le goût du sang. Le sien ? Le mien ? Je m’en fous. Je n’ai goût que d’elle. Ses fesses dans la coupe de mes mains, de force elle vient à moi. Ce baiser inouï de nos lèvres sirupeuses. L’irrésistible pulsion de m’engloutir en elle, bouche nez menton langue barbouillés de sang et de mouille forcent frénétiquement l’entrée de son sexe. Le front cogne obstinément au pubis mais pas moyen d’entrer. Alors de dépit presque, trois doigts dans son cul fourragent, agacent l’infime paroi qui les sépare du vagin. La voilà qui hurle. Pas moyen de s’y tromper. Un rugissement fauve qui naît dans les entrailles. Pas ce juste cri qui libère les cordes vocales. Non ! Un hurlement qui libère tout le corps, le vide, le laisse rompu et martelé. Mais vide. Un hurlement d’apaisement. Elle hurle et mes doigts s’enfoncent plus loin pour l’aider à éteindre ce vagissement. Quand c’est fini, elle se redresse. Elle attrape à pleines mains ...