1. Pauvre pêcheur...


    Datte: 07/08/2019, Catégories: hh, hagé, inconnu, grossexe, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral hdanus, hsodo, init, confession, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... encore en gémissant. Il tourne en moi, s’enfonce, se retire, recommence… Un plaisir nouveau, indescriptible, s’empare de moi. Je suis fouillé, écartelé ; je bande. Je tourne la tête vers lui. Une main s’occupe de moi tandis que l’autre est en train de coulisser sur son pieu qui me semble avoir grossi encore. Il est véritablement hors norme : jamais je ne pourrai supporter un tel engin, et pourtant j’en meurs d’envie, à tel point que je laisse échapper :
    
    — Viens ! Maintenant !
    
    Il étale d’un geste nonchalant le restant du beurre sur son gland, sa tige monstrueuse, puis pose les mains sur mes hanches, glissant son pieu entre mes fesses. D’une main, je m’ouvre un peu plus, lui offrant ma pastille grasse et frémissante. Le gland vient se loger juste au bon endroit. Il donne de petits à-coups, sans forcer. Je sens mes chairs se distendre. Une légère douleur me fait gémir à nouveau mais j’ai trop envie, et de mon côté je force légèrement vers lui. Mes reins cèdent brusquement. Une brûlure soudaine, et je sens une présence énorme en moi. Le gland a franchi l’obstacle. Immobile, il patiente, caressant mon dos.
    
    — Ça va ? Pas trop mal ? Tu vas voir, maintenant je vais te prendre à fond. À toi de décider quand, et tu vas venir t’empaler tout seul ; comme ça, tu n’auras pas mal.
    — Mon salaud… Tu es énorme ! Mais c’est bon ; je commence à aimer.
    
    Cette fois, la messe est dite : j’ai franchi le pas, et ces nouvelles sensations ont submergé tous mes a priori. Je le veux ! Je ...
    ... sens son gland palpiter à l’orée de mes reins, mais c’est au fond de moi que je veux l’amener. Dans une lente poussée, je m’empale… Il s’enfonce ; je m’ouvre. Il force ; je m’écarte. Il me remplit, me dilate ; je me donne. Horrible et délicieuse progression de ce mât de chair vibrante qui poursuit sa course dans mes reins, m’investit de sa puissance, sa chaleur, sa rigidité. J’ai du mal à respirer, haletant, les tripes nouées par cette invasion virile ; mes gémissements ne cessent plus. Je ne sais pas si j’ai mal ou si je savoure… mais j’irai jusqu’au bout !
    
    Je ferme les yeux et, comme on retient sa respiration pour avaler un médicament amer, je donne l’ultime et brutal coup de reins. Un cri de douleur m’échappe. Le contact du ventre de mon violeur sur mes fesses me soulage ; il est au fond de moi ! Je viens de m’empaler totalement sur ce membre hors norme, et la douleur se diffuse doucement, remplacée par une sensation de plénitude. Les secondes s’écoulent. Une tige virile, frémissante, énorme, vit en moi. Mon ventre, mes reins eux aussi palpitent autour de l’envahisseur. Je viens de basculer dans un autre monde !
    
    — Vas-y, baise-moi. Putain, que c’est bon… Vas-y !
    — Oui. Tu es serré comme une jeune fille ; je vais te défoncer !
    — Oui…
    
    Un lent ballet débute au creux de mes reins. Henri a saisi mes hanches. Il s’enfonce, se retire, recommence… Le rythme s’accélère, et c’est bientôt une folle cavalcade. Je me sens perforé, envahi, mais je suis ravi. J’accompagne chaque ...
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