1. Pauvre pêcheur...


    Datte: 07/08/2019, Catégories: hh, hagé, inconnu, grossexe, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral hdanus, hsodo, init, confession, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    Bien que je ne sois pas souvent le personnage principal de nos jeux et aventures avec Kris, je suis bien vivant, réel et je profite systématiquement de toutes les occasions qui nous sont offertes de jouir de tous les plaisirs de la vie. Candauliste dans l’âme, je prends un plaisir infini à voir, savoir, parfois imaginer ma chère et tendre épouse aux prises avec d’autres hommes, voire des femmes. Je ne connais pas de spectacle plus excitant que de pouvoir admirer les lèvres de Kris s’ourler autour d’une splendide tige érigée en son honneur, voir son ventre s’ouvrir sous la poussée fougueuse d’un amant entreprenant, l’entendre gémir, puis crier son plaisir, possédée, embrochée, parfois par deux sceptres qui se partagent son ventre et ses reins… Pourtant, moi aussi je participe à ces jeux sensuels, érotiques ou carrément lubriques. Cependant, je ne me laisse aller à faire des folies de mon corps que très rarement : eh oui, j’aime trop Kris, notre vie, nos jeux pour être tenté de donner un coup de canif dans le contrat.
    
    Le hasard a fait, la semaine dernière, que je me suis trouvé dans une situation très… particulière et que j’ai cédé à une envie inattendue.
    
    L’an dernier, je me suis offert un bateau. Non, pas un yacht ; je n’en ai ni la prétention, ni les moyens ! Juste un petit bateau à moteur pour taquiner tranquillement les brochets et autres habitants des profondeurs rhodaniennes. On y loge (en se serrant un peu) quatre ou cinq personnes. Même si j’embarque souvent ...
    ... seul, je ne suis pas un « fana » de la pêche. Le soleil, une glacière pleine, un peu d’huile de bronzage suffisent à mon bonheur. J’adore jeter deux cannes à l’eau puis me laisser dériver en oubliant les trépidations de la vie quotidienne.
    
    Vendredi, j’avais décidé de m’offrir une matinée sur l’eau. Le réveil fut-il plus difficile que d’habitude ? Toujours est-il que l’heure tardive m’a incité à repousser mon projet à l’après-midi (on dit que les poissons ne mordent pas l’après-midi ; mais, après tout, je profiterai au moins du soleil).
    
    Vers treize heures, me voici au bord de l’eau. Tout est calme, à part quelques personnes qui flânent sur les berges, à l’ombre des grands platanes. Je m’affaire un petit quart d’heure à installer mon matériel à bord ; j’ai tout mon temps, et assis sur l’avant de mon embarcation, j’allume une cigarette. Je passe ainsi un moment à observer sans but les promeneurs qui passent devant moi. Un homme d’un certain âge (je dirais plus près des soixante ans que des cinquante), le cheveu gris, vêtu d’un jean et d’une chemise claire s’arrête à quelques pas. Svelte, costaud (plus que moi, a priori), il a une certaine prestance.
    
    Il m’aborde avec un sourire, me pose quelques questions concernant mon bateau, le plaisir que je prends à naviguer. Rapidement nous nous lançons dans une conversation agréable, à tel point que je lui propose de partager une boisson fraîche. Il accepte et nous nous retrouvons assis tous deux sur les sièges arrière. J’apprends ...
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