1. Pauvre pêcheur...


    Datte: 07/08/2019, Catégories: hh, hagé, inconnu, grossexe, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral hdanus, hsodo, init, confession, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... qu’il s’appelle Henri. Nous décidons de nous tutoyer. Nous ne voyons pas le temps passer jusqu’à ce qu’il me demande si j’accepterais de lui faire faire une petite promenade à bord car il ne connaît le fleuve que depuis la berge et n’a jamais eu l’occasion de faire un tour en bateau. Je n’ai rien à faire qu’à tuer le temps ; alors pourquoi pas, avec un passager qui me semble d’agréable compagnie ?
    
    Un quart d’heure plus tard, nous voici au milieu du fleuve. Je me dirige vers une zone plus calme, à l’abri du vent, où la végétation, les oiseaux, offrent une vision beaucoup plus agréable de notre tumultueux fleuve. Je mets en panne. Nous dérivons lentement le long de la berge, au soleil.
    
    — Henri, étant le seul maître à bord après Dieu, je tombe la chemise. Tu n’y vois pas d’inconvénient ?
    — Pas du tout, et si tu le veux bien, je vais faire de même ; il fait une chaleur à crever !
    — Pas de souci, fais comme chez toi.
    — Non, tout de même pas…
    — Ah bon ? Pourquoi ?
    — Chez moi, j’ôte bien plus que la chemise et je ne voudrais pas te choquer…
    — Tu crois qu’à mon âge on risque encore de me choquer ? Ne te gêne pas pour moi. D’ailleurs j’ai déjà vu des hommes nus, et je n’en suis plus à un près. Si tu as des complexes, je ferai de même : ainsi nous serons à égalité. On ne va pas se gêner entre hommes, et seuls les petits oiseaux en perdront peut-être la vue.
    
    Nous éclatons de rire et, dans un bel ensemble, nous tombons chaussures, chemises et pantalons. Henri me regarde, ...
    ... sourit à nouveau, et d’un geste naturel fait glisser son dernier vêtement. Pour ne pas être en reste, je fais de même. Nous voici tous deux nus. Je sors deux bières de la glacière, en tends une à Henri. Nous sommes bien, rafraîchis par une légère brise qui pousse lentement notre embarcation.
    
    — Alain, c’est vraiment un petit paradis, un bateau comme ça… Il y a seulement quelques heures je n’aurais jamais imaginé me retrouver nu en présence d’un inconnu à savourer une bière et un paysage aussi agréable…
    — Alors tu comprends mieux ce qui a pu me pousser à investir quelques économies pour profiter de moments comme celui-ci.
    — Tu emmènes souvent des passagers comme moi ?
    — Non. À part quelques amis, je n’ai jamais accepté un inconnu à bord.
    — Alors merci ! C’est une marque de confiance ; une amitié naissante ?
    — Aucune idée. C’est vraiment une première, mais tu es d’agréable compagnie. Discuter de tout et de rien avec un inconnu change un peu, la preuve !
    
    Nous restons silencieux un long moment, profitant des rayons du soleil, de la brise qui caresse nos corps. Henri m’offre une cigarette, se penche vers moi pour me donner du feu puis s’étire et se laisse aller en arrière sur les coussins, les jambes allongées, légèrement écartées. Il pousse un soupir d’aise, souffle une volute de fumée et ferme les yeux.
    
    Je ne sais pas pourquoi mon regard glisse sur son torse velu, ses abdominaux encore entretenus, et découvre un sexe volumineux bien qu’au repos. N’étant ni homo ni ...
«1234...8»